On se souvient de la dame de Valleyfield qui avait une quarantaine de chats chez elle. Une telle situation n'est pas rare.
J'ai été chez cette dame et sa maison est impeccable. D'ailleurs elle n'a eu aucune hésitation à laisser entrer Global TV chez elle pour un reportage. Bien fait, d'ailleurs.
Un jour la ville de Valleyfield a découvert les chats et décidé de les exterminer. C,est vrai que la dame, qui n'avait rien à se reprocher, n'était pas très discrète.
C’est clair que ce règlement que la ville de Valleyfield essaie de faire appliquer via la spca (qui n’a aucune juridiction) n’a rien à voir avec la protection des animaux. Il est classé dans la section « nuisances ». Or, les fonctionnaires d’une ville, pour appliquer un tel règlement se cachent derrière « une plainte ». On ne sait jamais c’est qui l’indésirable, ou s’il y a vraiment une plainte.
Ça peut être le crétin qui en veut à la dame parce qu’un jour elle était stationnée derrière sa voiture et il n’a pas pu sortir comme celui qui en veut à tout le monde pour le bruit de la thermo-pompe, la piscine, etc. Tous les moyens sont ensuite bons pour écoeurer la voisine qui s’occupe des chats mais pas de lui. C’est une tactique de « bully » pour attirer l’attention tout en se cachant derrière une plainte anonyme.
Les secouristes en ont soupé des anonymes qui ne sont pas capables de faire face à leur voisine mais n’hésiteront pas une seconde à abandonner leur propre chat l’hiver dans la rue sous prétexte qu’il pue (parce que non stérilisé) et cela à l’encontre du Code criminel canadien qui interdit de faire souffrir un animal inutilement.
Cette dame a fait la bonne chose : elle les a recueillis, soignés, stérilisés et leur fournit un gîte permanent. La spca de Valleyfield donne les chats parce qu’elle en a trop. Ben ceux de la dame ILS ONT DÉJÀ UN FOYER. Bon sang! Ouvrez vous les yeux. Avec la surpopulation animale ça donne quoi de persécuter une personne qui s’occupe des abandonnés ? Et à ses frais en plus. Ça ne lui donne même pas de points.
Avec le scandale derrière la spca de Valleyfield, la ville n’a pas de quoi être fière et je ne leur donnerais pas une médaille pour la protection des animaux. Après avoir agressé une des fondatrices du Campifélin et avoir mis les autres à la porte, les busybodies de l’hotel-de-ville (dont Johanne Tassé) ont abandonné les chats parce que ce n'était pas payant et qu’elles ne savaient pas quoi faire ni comment résoudre un problème qu’elles avaient créé. « Ça sentait trop fort » qu’elles disaient. Ces dames patronesses n’avaient jamais aidé un chat de leur vie mais pensaient que ça devait être comme pour les chiens. Surprise!
samedi 13 avril 2013
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