samedi 27 décembre 2008

CORRUPTION À LA SPCA

Nous pensions que tous les problèmes de la SPCA reposaient sur les épaules de Barnotti et disparaîtraient avec son départ. Erreur!

Des informations vérifiées me portent à croire qu'il y a un problème majeur au service des inspections qui a mené au vol de chiens le mois passé comme dans les années 80 alors que les inspecteurs étaient tellement effrontés qu'ils allaient voler les animaux et portaient des accusations de cruauté contre n'importe qui qui n'avait pas les moyens de se défendre.

Les propriétaires d'usines à chiots n'ont jamais été importunés et ont prospéré au point de devenir un fléau dans cette province avec l'appui des inspecteurs municipaux, ceux de la SPCA et la police. Ils travaillent au noir et avaient toujours du "cash" pour régler les situations.

Donc, je disais, le mois passé, on a rapporté à la SPCA un cas de cruauté flagrant à Mirabel. On avait un témoin crédible pour supporter la saisie. Malgré tous nos efforts et insistences, la directrice Alanna Devine a fait répondre immédiatement "qu'il n'y avait pas assez de preuve".

On sait mieux. La vérité ressort toujours, pourvu qu'on se parle.

L'inspecteur Nathalie Bouillé était allée à cette adresse il y a une couple de mois et n'avait rien fait, elle avait fait comme d'habitude et reviré à la porte de la grange. Le tortureur se vantait à qui veut l'entendre qu'il n'avait pas peur de la SPCA. Je pense même que c'est lui que j'avais rencontré à Mirabel et qui m'avait dit sans que je lui demande qu'il n'avait qu'à glisser de l'argent à l'inspecteur et çà se réglait vite.

Or, le même tortureur s'est vanté à son voisin encore la semaine passée qu'il venait d'être avisé par Nathalie Bouillé de déménager ses chiens. Çà c'était le mardi. Le vendredi matin, les poudrées d'Anima-Québec se sont présentées sur place. Elles n'ont rien inspecté, évidemment, il n'y avait personne, pas même de chiens. Çà n'aurait pas fait grand différence car AQ n'aide pas les chiens et ne les protège pas contre les tortureurs. "Elle fait des recommandations". Les propriétaires d'usines à chiots s'en fichent tu des recommandations ?

Anima-Québec a toujours dit que son service d'inspection était à l'épreuve de la corruption et que ses inspections n'étaient pas annoncées. Si le tortureur dit vrai et je le crois, c'est comme çà qu'il opère un lieu de torture dit usine à chiots depuis plus de 20 ans et n'a jamais été dérangé.

Quand Nathalie Bouillé va voler des chiens en santé et bien gardés dans des conditions idéales à St-Lin pour laisser les autres aux mains d'un psychopathe qui a un caniche avec une blessure profonde non traitée, une femelle boxer sur le point d'accoucher attachée dehors par moins 20, quelqu'un ne fait pas sa job.

C'EST QUI, QUI VA PROTÉGER LES ANIMAUX ? QUI VA PROTÉGER LEURS PROTECTEURS CONTRE LES RAFLES NON JUSTIFIÉES ET NON JUSTIFIABLES ? ET QUI VA PROTÉGER CEUX QUI DÉNONCENT CES EXPLOITEURS ET ABUSEURS D'ANIMAUX CONTRE LEURS MENACES ?......."

Le conseil d'administration de la SPCA et celui d'AQ ont besoin d'une sérieuse prise de conscience.

Pourtant, tous ces inspecteurs sont déjà rentrés dans une usine à chiots et en connaissent les horreurs. Leur cupidité l'emporte sur leur sens du devoir. Les personnes qui ont procédé à leur nomination doivent aussi prendre la responsabilité de la mort de tous ces petits êtres sans défense dans des conditions horribles.

mardi 23 décembre 2008

CAROLE LAPALME, NON COUPABLE ?

DOSSIER CAROLE LAPALME, SAISIE D’UN REFUGE OU D’UNE USINE À CHIOTS ?

Malgré nos efforts répétés depuis trois semaines, la présence de témoins crédibles et un échange de correspondance avec la SPCA et la Humane Society, nous n’avons pu faire inspecter la grange décrépie d’une usine à chiots à Mirabel car Nathalie Bouillé, l’inspecteur de la SPCA a jugé qu’il n’y « avait pas suffisamment de preuve ». Pour le moment, je ne discuterai pas les dessous de cette affaire car il y a un cas plus urgent.

C'est la même Nathalie Bouillé qui s’est rendue à St-Lin avec la police, camions de la HSI, etc pour inspecter et saisir un REFUGE opéré par une dame qui ne pensait qu’à faire du bien aux animaux et aux jeunes désoeuvrés du coin. La dame avait les permis nécessaires, était bien connue des voisins qui l’appuyaient et qui n’en reviennent pas encore de cette intervention. Elle avait réussi à placer 62 animaux dans la dernière année et ne demandait rien pour prendre les abandonnés du voisinage.

La mauvaise publicité montée en épingle par la SPCA (en fournissant des images qui n'avaient rien à voir avec son refuge car aucun média n'était sur place lors de la saisie) a aussi eu pour effet de faire croire à des activistes que la dame était coupable, même avant le procès et un petit groupe s’est rendu à Joliette à l’ouverture du procès pour manifester devant le palais. Je les avais prévenu que Loranger le Procureur de la Couronne était corrompu et de faire attention. J’espère qu’elles comprennent maintenant pourquoi il ne voulait pas leur parler.

Nous pensions qu’avec le départ de Barnotti, ce genre de saisie disparaîtrait. Il semble que non. Donc, le problème est plus profond à la SPCA, au niveau du personnel et des inspecteurs. Le nouveau conseil n’a pas plus de contrôle sur les employés et les pommes pourries sont encore dans le baril.

Quand j’entends Davenport et ses semblables dire lors de saisies que c’est le pire cas qu’ils ont vus, je me demande si c’est parce qu’ils n’ont pas de mémoire ou pour faire du sensasionnalisme. Alors qu’aucun média n’était présent lors de la saisie dans ce refuge, comment se fait-il que des images grossières ont été montrées à la télé. D’où venaient ces images ? L’avocat de la dame se le demande. Ou bien les médias ont montré n’importe quoi ou bien des supposées images leur ont été fournies par Nathalie Bouillé pour discréditer la dame. Mais tous les voisins qui ont visité le refuge sont d’accord pour dire que ces images ne viennent pas du refuge. Donc…..

Comme je disais, on pensait que la fabrication de preuves était finie avec l’ère Barnotti et qu'un peu d'honnêteté prévaudrait dans les témoignages. Il semble qu’il règne encore sur les inspecteurs de la SPCA. Tant que le public ne s’ouvrira pas les yeux et les oreilles, d’autres animaux subiront le même sort et d’autres humains auront la vie brisée. Nous avons des caisses de documents démontrant les vols d’animaux par la SPCA, du temps de Barnotti et avant. Nous venons d’ouvrir une autre caisse pour mettre le dossier de ce refuge.

La dame a plaidé non coupable aux accusations de la SPCA et doit dépenser des sommes importantes pour se défendre. Il semble que son avocat ait compris le fond de l’histoire, ce qui est rare dans ce domaine. Les avocats de la défense sont là pour faire de l’argent, pas pour défendre des femmes accusées faussement. Mais personne ne comprend d’où cette affaire origine. Qu’est-ce qui a déclenché la débâcle ? C'est toujours comme çà avec la SPCA. Pour justifier leurs actions et fabriquer d’autres preuves, ils comptent sur le secret et la connivence, les faux témoignages et leurs contacts dans les médias.

Le procès est long et pénible pour cette amoureuse des animaux. Pénible surtout avec la divulgation de la preuve car c’est comme çà que la dame a appris que son chien arthritique de 12 ans qui avait besoin de médicaments (elle l’avait dit à la Bouillé le matin de la saisie) a tout simplement été euthanasié. La petite chienne qui dormait sur son oreiller depuis 13 ans, disparue aussi. Le chien dressé qui avait comme mission de garder l’écurie contre les voleurs, tué aussi. Il n’avait que 2 ans.

Au lendemain de la saisie, la dame a demandé à la Bouillé pour aller voir ses chiens, pour les rassurer et les calmer. La Bouillé a fait réponse « vos chiens ne sont déjà plus à Montréal ». C’est quoi cette réponse ? En autant que je sache, au Québec, les biens saisis ne peuvent être disposés avant la fin du procès. On a vu dans les médias que la HSI était partie aux états avec 50 chiens. Etait-ce ceux du refuge ? Personne ne le sait car les chiens des deux dernières saisies ont tous été mêlés et comme ils ne parlent pas, personne ne peut dire d’où ils viennent, sauf leur propriétaire.

Elle et son avocat n’arrivent pas à comprendre ce qui s’est passé, qui a fait une plainte de cruauté et sur quelles bases. Le dossier est mal monté et surtout, c’est la corruption dont souffre le procureur de la Couronne Loranger (je n’ai aucun problème à l’écrire car j’ai des preuves de connivence) et sa connivence avec la SPCA et le Berger Blanc qui a permis d’obtenir un mandat de perquisition et la saisie de ces chiens.

Comme l’écrit Julius Grey, la corruption existe à tous les niveaux mais encore faut-il en faire la preuve pour s’en débarrasser. Les gens savent mais n’oseront pas venir témoigner car ils ont peur d’avoir peur. Comment une brave femme peut-elle se défendre si personne ne se présente pour l’aider ? Le dossier est tout croche mais il faut le démontrer au juge en espérant que Loranger n’aura pas parlé au juge avant comme il le fait souvent.

Qui dit inspecteur dit corruption. La tentation est trop forte. Que ce soit au niveau municipal ou de la SPCA, le principe est le même. Les propriétaires d’usine à chiots ont plein d’argent « cash » pour acheter la paix mais cette dame, tous ses avoirs passaient sur ses animaux. La dame qui est déclarée invalible depuis plus de 5 ans souffrant d'arthrite rhumatoide inflammatoire dégénératrice a quand même poursuivi sa mission de refuge. Mais aujourd'hui, elle a besoin d'aide, de témoignages de personnes qui en savent long sur les méthodes de saisie de la SPCA. Nous espérons qu'ils auront le courage de se montrer.

Cette saisie est tellement illogique pour ne pas dire frauduleuse, comment se fait-il que la dame qui était supposément si cruelle envers les animaux au point de lui mettre une charge, ne l’était pas pour ses chevaux qui lui ont été laissés ainsi que deux autres chiens. Mais on lui a pris la petite chienne qui vivait dans la maison et dormait dans son lit.

Non, la maison n’était pas un taudis et l’écurie non plus. Les voisins qui fréquentaient la dame sauront vous le dire. Les enfants qui allaient s’occuper des chiens ont eu le cœur brisé par toute cette affaire et ne comprennent pas. Nous non plus d’ailleurs. La dame devra maintenant se défendre non seulement devant la Cour mais devant les médias, devant le public qui oublie bien vite car sa réputation a été entachée et par le fait même le travail de toutes les protectrices des animaux.

CONCLUSION

Voilà une dame qui s’était donné comme mission de protéger les animaux et d’aider les humains. Elle vient de comprendre que ce sont les humains qui sont cruels et pas nécessairement ceux qu’on pense.

Lle matin de la saisie, elle s’en allait à Joliette pour un examen médical important et n’a pu suivre le vol de ses chiens sur sa propriété. La Bouillé a simplement répondu, sans cœur, à son frère qui devait l’y conduire « c’est çà, amenez la, ce sera mieux pour elle ». Mieux pour elle ? Ou mieux pour la Bouillé ? Elle pouvait ainsi procéder sans témoin au vol des animaux. Qui dit qu’il n’y a pas d’autres éléments de preuve qui ont aussi disparu, comme les carnets de santé des chiens, la facture de vétérinaire de $400 pour la dernière opération, etc.

Le Québec n’a pas besoin d’autres lois de protection des animaux si c’est pour s’en servir contre les protectrices des animaux. La SPCA n’est pas capable de fermer de « vraies usines à chiots », on a les preuves de çà, alors même si on demande d’autres lois, si elles sont mal appliquées, çà ne servira pas les droits des animaux à une vie meilleure.

La seule chose décente à faire maintenant par la SPCA, c’est qu’avec tout ce qu’ils ont entendu au procès à date, c’est de retirer les accusations contre cette dame et de lui remettre, avec leurs excuses, ses chiens, s’ils peuvent les retrouver bien entendu car ils en perdent souvent.

NOUS NE POUVONS SUPPORTER QU’UN ORGANISME EN QUI CERTAINES PERSONNES AVAIENT MIS LEUR CONFIANCE, FASSE DU TORT À UN REFUGE SIMPLEMENT PARCE QU’IL LEUR FAIT DE LA COMPÉTITION.

INADMISSIBLE!!!!

Autrement, c'est tout le travail de ces petits refuges qui est compromis et les animaux ne peuvent se permettre de perdre des protectrices car on vient de le voir, on ne peut pas compter sur la SPCA.

dimanche 24 août 2008

QUI EST RESPONSABLE DES CHATS ERRANTS ?


RESPONSABILITÉ POUR LES CHATS ERRANTS


JE, JANINE LAROSE, RENDS RESPONSABLE DE LA CRISE DES CHATS ERRANTS ET DE LA CRUAUTÉ À LEUR ENDROIT:

1. - En premier lieu, certains propriétaires de chats :

- Pour exiger d’adopter un chaton en s’imaginant qu’il ne grandira jamais mais qui vont l’abandonner dès qu’il devient trop grand;

- Pour ne pas essayer de trouver un logement où ils pourront amener leur chat mais qui n’hésiteront pas à s’en débarrasser dans des conditions inacceptables;

- En ne faisant pas stériliser leur animal et en mettant les femelles en chaleur sur le balcon quand elles font trop de bruit; en faisant des bébés puis on en garde un de la portée et on envoie les autres et la mère à l’abattoir; encore pire, on garde 2 bébés, le couple et on recommence le cycle;

- En ne le faisant pas soigner quand il fait des cristaux dans la vessie mais en l’envoyant à la fourrière ou la SPCA parce que malade; où il sera mis à mort tout seul, dans de grandes souffrances en attendant l'injection fatale;

- En laissant sortir leur chat dehors; il y a trop d’embûches pour un chat dans ce pays. Ensuite quand on leur demande pourquoi il s’est perdu : « il voulait sortir » FAUX : les chats c’est des passeux de porte. Ils vont passer n’importe quelle porte pour aller voir ce qu’il y a l’autre bord.

- En négligeant de le chercher quand il se perd. Un chat va se perdre de la même chose qu’un enfant. Il y en a qui n’ont pas le sens de l’orientation.

- En n’identifiant pas leur chat au cas où; un collier et médaillon çà ne coûte pas cher;

- N’allez pas croire que les montréalais sont les seuls à abandonner leur animal dans un logement vide quand ils déménagent. Les US ont vu ce phénomène augmenter avec la hausse des « foreclosures ».

Rares sont les exceptions qui amènent leur chat à un âge vénérable et on doit maintenant les en félicier.

2. – Les propriétaires d’appartements pour interdire aux locataires d’y amener leur animal. Ce n’est pas l’animal qui est malpropre, c’est le locataire qui devrait en prendre soin. Certaines familles sont malpropres et destructrices même sans animaux.

3. – Les voisins des propriétaires de chats, les busybodies qui, au lieu d’aider l’animal perdu, vont le capturer et l’amener à la fourrière en disant que c’est le leur et en exigeant la mise à mort. Ces busybodies qui n’hésiteront pas à utiliser les trappes et l’antigel pour faire du mal aux chats. Ils ne sont pas capable d’aider un chat à rentrer à la maison, de retracer ses maîtres mais ont mis assez d’énergies pour trouver le truc de l’antigel.

Conseil : Si vous n’avez pas l’intention d’aider l’animal, laissez le où il est, d’autres en prendront charge.

4. - Les municipalités qui, au lieu de donner des outils aux contribuables pour se responsabiliser et de protéger les chats, énoncent des règlements sans allure, comme : de ne pas nourrir les chats errants, pas plus de 2 chats par logement, etc. tout en pensant qu’en ne les nourrissant pas les chats vont disparaître. Ce n’est pas en exigeant des licences non plus que le problème va se régler. Simplement le fait de ne pas indiquer aux propriétaires l’endroit où ils peuvent récupérer leur animal perdu est un manque complet d’éthique. Le payeur de taxes n’en a pas pour son argent avec les services de fourrière offerts par les diverses municipalités.

Ce n’est pas en donnant le contrat à la fourrière de trapper les chats et de les tuer que le problème va se régler. Il existe un principe dans la nature selon lequel lorsqu’on vide un endroit des prédateurs, il se remplit d’autres prédateurs ou d’une autre espèce.

5. - Pierre Barnotti et le conseil d’administration de la SPCA qui n’ont pas fait d’éducation depuis plus de 20 ans et se sont contentés de prendre les chats qu’on leur apportait et de les tuer tout en promettant de les faire adopter; d’avoir fait adopter des chats non stérilisés et de ne pas avoir offert une clinique de stérilisation à prix modiques;

6. - Pierre Couture et son Berger Blanc pour avoir envoyé les chats qu’on lui a apportés dans des laboratoires tout en promettant qu’ils seraient « adoptés ». Il n’y a aucune adoption à son établissement, c’est de la vente comme dans les animaleries. En laissant croire au consommateur qu’il sera adopté, il s’approprie un bien sous fausse représentation et le propriétaire de l’animal croit qu’il a fait la bonne chose. C’est de la fausse représentation. C’est la même chose pour l’Inspecteur Canin dans Lanaudière ou les autres services de fourrière.

Je vais passer sous silence ici les méthodes d’euthanasie de ces endroits infects.

7. - Les animaleries de vendre des chatons à des prix dérisoires et à n’importe qui. Ces chats se ramassent à la rue avant que l’été soit fini. C’est irresponsable de ne pas donner le minimum d’informations et de conseils aux acheteurs. Sans compter que certaines animaleries en prennent si peu soin qu’ils deviennent malades et meurent dans l’arrière-boutique sans soins.

8. - Les cliniques vétérinaires qui, par leurs prix prohibitifs, forcent les propriétaires de chats à ne pas les faire stériliser, exigent des vaccins parfaitement inutiles année après année, augmentant ainsi le coût d’entretien d’un chat. En jouant sur la culpabilité du propriétaire de l’animal s’il n’est pas vacciné chaque année. En demandant des centaines de dollars pour une euthanasie qui coûte presque rien. Résultat : les propriétaires laissent mourir leur animal dans la souffrance.

9. - Le Dr. Pépin et autres animateurs télé pour répandre des insanités dans leurs textes et émissions de télé comme par exemple : que çà peut coûter jusqu’à $15,000 en frais pour la vie d’un chat. A ce compte-là, les gens ne veulent plus adopter. La majorité n’a pas ce genre d’argent à mettre sur un animal. C’est normal. Pour avoir une émission populaire et écoutée, il existe l’obligation de dire la vérité.

10.- Finalement, je blâme les médias pour ne pas publier d’articles ou de reportages explicatifs et véridiques sur la situation. On se contente de textes "ti-minou" mais toute la souffrance des chats errans est passée sous silence.

Au moins une fois par mois, j’envoie un texte dans un journal quelconque. Rarement sont-ils publiés.

Avec d’autres organismes, nous avons créé en 2008 « La Semaine Nationale d’Adoption des chats ». Des communiqués ont été envoyés à tous les journaux et médias électroniques. Combien en ont parlé ? Zéro fois zéro. Les bénévoles dépendent des médias pour faire l’éducation mais la réponse est faible. On s’est efforcées de rester polies jusqu’ici devant l’indifférence des médias face à la cruauté envers les animaux du Québec mais vous devriez entendre ce que les filles disent entre elles.

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The catastrophy that looms ahead for the cat population: RABIES

We now have a rabies epidemy in raccoons coming from Vermont into Canada. The authorities are doing their best to contain it but it is at Montreal’s doors. If it gets closer, panic will set in and of course, humans being what they are, stray cats will be slaughtered by the hundreds… just in case.

La rage, désastre qui est à nos portes

Je n’ose pas penser à ce qui va se passer si l’épidémie de rage qui sévit dans la population de ratons-laveurs au sud de la rivière Richelieu, se répand plus loin.

S’il fallait que l’épidémie avance, les biologistes supposés experts vont faire un massacre des chats dans les rues de Montréal comme ils ont tué l’été passé plus de 5000 ratons qui n’étaient même pas porteurs de la rage.

Note qui en dit long: Ensuite le biologiste en charge de l’opération a été décoré par une association de trappeurs. Comme conflit d’intérêts, on ne fait pas mieux. C’est désespérant que le Québec ne soit pas plus civilisé. Une enquête s'imposerait.

jeudi 24 juillet 2008

BARNOTTI "ENFIN" CONGÉDIÉ!

Quatre mois après son élection, le conseil d'administration de la SPCA de Montréal s'est décidé à congédier Barnotti.

Les secrets sont toutefois bien gardés. Le communiqué de presse prend soin de ne pas mentionner la véritable raison du congédiement. Est-ce à dire que le C.A. a encore peur de se faire poursuivre par Barnotti ? C'est sa spécialité de poursuivre tout le monde puis de se parjurer en Cour. Regardez seulement ce qu'il a fait à Alex Wolf.

Il y a encore trop de secrets dans l'administration de la SPCA. Çà laisse une porte ouverte à la corruption et aux décisions qui n'ont rien à voir avec la protection des animaux. Toutes les SPCAs fonctionnent sous le même principe: les livres ne sont pas ouverts aux membres. Ce sont des organismes privés, donc les médias ne peuvent intervenir dans l'administration. Quand on a finalement accès à des bribes d'information, il est trop tard et les animaux ont payé de leur vie les mauvaises décisions d'un conseil d'administration qui n'avait pas le meilleur intérêt des animaux à coeur.

Mais le congédiement de Barnotti aura au moins pour effet de cesser de circuler de la mauvaise information dans les médias. Tout le temps qu'il a été à la SPCA, Barnotti n'avait pas son pareil pour l'exagération des statistiques. C'en était ridicule. Loin de faire l'éducation du peuple, ce qui est dans le mandat de la SPCA, tous ses mensonges avaient le don de mettre en péril la vie même des animaux.

Par exemple, dans la Presse du 2 juillet 2006, il est écrit dans la rubrique Le Premier Juillet en chiffres: 250 000: le nombre d'animaux abandonnés durant cette période, selon la SPCA. Il faut dire que le journaliste Hugo Meunier n'a pas été chercher bien loin pour reproduire exactement la parole de Barnotti.

Je suis bien d'accord que beaucoup de locataires laissent leur animal dans le logement au moment de leur départ, ce qui est inacceptable mais que 250 000 locataires abandonnent un animal dans la période de déménagement, çà dépasse les bornes. Les refuges feraient plus que déborder, il y en aurait plein les rues.

La même chose pour les morsures de chiens. Il a fait croire à une recherchiste de Québec qu'il y avait 500 000 morsures de chiens par année au Québec. WOW!! Les urgences fournissent déjà pas.... Quand on considère que la ville de Sao Paulo a 6387 morsures par année pour une population de 19 millions, on peut tu comprendre qu'avec 7 millions d'habitants répartis sur un grand territoire, c'est impossible que le Québec ait un nombre aussi important de morsures et que les statistiques à Barnotti ne tiennent pas la route ? Tout est question de proportions.

Comme on ne saura jamais ce qui est advenu des huskies saisis à St-Jean-de-Matha. Supposément envoyés dans de bonnes familles mais revendus dans une usine à chiots et on sait laquelle. Plusieurs chiens saisis chez l'éleveur de Ste-Thérèse ont aussi disparu dans la brume. Certains ont été adoptés mais ceux qui n'étaient pas socialisés n'ont pas été tués. Alors....

Pendant plus de 25 ans, j'ai clamé à qui voulait l'entendre qu'il y avait de la corruption à la SPCA. D'ailleurs c'est à cause de cette corruption que Barnotti a réussi à s'infiltrer et prendre place au milieu de l'assiette au beurre avec ses chums. De failli qu'il était au moment de son engagement, il est maintenant multi-millionnaire et surtout avec son site web de SPCA International où la seule chose qu'il fait c'est de collecter de l'argent, encore sur le dos des animaux.

Tout çà pour vous dire que si on se regroupe et si on se tient, il n'y a rien d'impossible dans cette cause de protection des animaux. Un mouvement s'est enclenché quand CTV a diffusé le reportage sur les fraudes à Barnotti et les manifestations ont fait le reste. Si l'on en juge de la diffusion générale du communiqué de son congédiement, les médias semblent être sur la bonne page.

Il faut continuer à se tenir car il reste encore des acteurs sérieux à éliminer comme le Berger Blanc et Lamarche & Pinard qui continuent à s'enrichir sur le dos des animaux et surtout à partir de mensonges à la population. Nous avons maintenant un témoin de taille, prêt à nous donner les détails de leurs manigances, aussi bien en profiter. Les animaux comptent sur vous toutes.

samedi 21 juin 2008

A Premature Death: The Animal Rights Movement

In her best-selling "Ministry of Healing," Ellen G. White wrote: "What man with a human heart, who has ever cared for domestic animals, could look into their eyes, so full of confidence and affection, and willingly give them over to the butcher's knife? How could he devour their flesh as a sweet morsel?"

Many activists describe themselves as animal rights supporters. How they continue to promote compassionate animal slaughter is beyond my understanding. When King Kong lay bleeding on the streets of New York, having been shot off the Empire State building by 1933 fighter pilots, one of the most famous lines in all of moviedom was used to describe the tragic love story between an 80-foot ape and Fay Wray: "It was beauty killed the beast."

Many years from now, some future anthropologist writing a doctoral dissertation will discover the identical reason for the death of the animal rights (AR) movement: Beauty (compassionate animal slaughter) killed the beast (the AR movement). Throughout history, as long as laws were passed to make human slavery more compassionate, the horror of slavery continued. Anti-slavery advocates danced and celebrated passage of such laws, which were celebrated by liberals and free thinkers, but not by the slaves. To be enslaved is to know and not accept any form of injustice. Similar laws are being passed today to make animal suffering more tolerable on factory farms.

The promotion of animal slaughter in any form worsens the betrayal to animals. Compassionate slaughter laws act merely to deceive human meat eaters. Many animal rights advocates raise money to lobby Congress to enact laws making slaughter more compassionate, as if there can ever be justice by sanitizing murder.

This summer thousands of animal rights activists will meet at dozens of conferences to support each other and a movement that in reality, no longer exists. They have lost sight of the fact that the real animal rights movement has died. Compassionate slaughter does not save animals. Compassionate slaughter relieves the consciences of those people who eat animals. Why is it that per capita chicken and beef consumption continue to increase?

There was a time when animal rights supporters believed that animals deserved ethical treatment from people. The promotion of compassionate slaughter laws has ended the real animal rights movement. Meat eaters have been relieved of any guilt of animal suffering. They donate to animal rights groups who claim victory each time the floor space of a chicken's cage is increased by three or four square inches. It feels good to believe that doomed animals have no pain. They who should feel guilt now consume more chicken, guilt-free.

More animals will die, and they do not do so compassionately. Compassionate slaughter has became the new ethic of the animal rights movement. Sixty-six years ago, a string quartet performed Paganini and Mozart while doomed Jews marched neatly in line to their final solution in Treblinka's efficient human slaughterhouse. For these victims, slaughter was made more compassionate by adding gentle classical music to their death march. There are still some who suppose that there is no more deviant a notion than the abstraction dubbed "compassionate slaughter." These eccentrics have become the outcasts of the animal rights movement.

The Humane Slaughter Act was passed so that farm animals would be "humanely killed" by compassionate killers with sharp knives, rather then by sadistic fiends taking pleasure in causing pain to defenseless creatures. Oh well, little seems to have changed regarding man's inhumanity to his fellow earthlings.

"Fallaces sunt rerum species." (The appearance of things are deceptive.) Seneca (c4 B.C.-A.D.65)

There is always a home for a cute pure bred dog. The mixed breeds will die. The sheltered pit bulls will be euthanized. The unloved strays will wag their tails and bark greetings of welcome to shelter visitors. Visit your local animal shelter today, and walk down the aisles as I recently did, saying hello and goodbye to living spirits seeking love. To animals who will forever be orphans, until death do they part from the cruelty of their existence.

The rats from animal experiments, when no longer needed, are thrown together into a bucket and doused with ether, or injected with sodium pentabarbitol, en masse, to die huddled together, body to body, in their final resting place. The baby male chicks are given no painkillers before the life is crushed out of them in efficient killing machines. The furs that humans wear are skin peeled from once-feeling animals who have been anally electrocuted so that skin remains unscarred. The horses that lose race after race get no pills to calm them before being stunned more than once, for one blow rarely brings them to their knees, before being hoisted by chains so that a man's knife can end memories of racing around oval tracks to cheering humans. The chickens and turkeys, one by one, throats slit, hung upside down to squawk their dying words in gurgling blood tones. The elephants prodded with sharp-hooked tools, made to stand awkwardly on small stools while children applaud with glee. The castrated dancing bears bring delight to naive circus patrons who have no awareness of their pain, before and after the performance. The rodeo calves and animals who run in terror as galloping cowboys lasso ropes around their necks and then bind their legs, giving confused animals the opportunity to ask why.

There is no rescue. There is no real sanctuary. There are just illusions. There is only truth. A few years ago, I listened to Ingrid Newkirk of PETA deliver the most passionate and well-informed talk I had ever heard. Nearly one thousand people rose to their feet for a long and powerful ovation after she had finished. I had the very interesting perspective of sitting right next to Dan Murphy who is the editor of a pro-meat magazine. I love to play poker. I'm a good card player because I watch people carefully, and over the course of an evening's play, I watch tells, I watch faces, I watch eyes, I watch fingers, I watch tapping on the table, and blinking, and by the end of that evening, I know with pretty good certainty the strength of my opponent's cards.

I observed this man very carefully during Newkirk's talk. When he applauded, his two friends applauded. He was the leader of the group. When he smiled, they smiled. But what disturbed me was this man gave her a standing ovation too, along with the AR activists. He stood and applauded with enthusiasm.

It was then and there that I understood why. Americans are eating more meat as a result of our impotent efforts. Compassionate slaughter? I reject the concept of compassionate slaughter. I hate the oxymoronic compassionate slaughter laws. If the animals could talk, they would be able to tell you why they reject such laws too. If they were the judges at the trials of Nuremberg, we who pathetically fail to change things and make them worse would be on trial for crimes against these innocent farmed creatures.

I want all people to see death. I want people to see un-compassionate slaughter. I want them to see what it's really like. That's our responsibility. Our responsibility is to accept our failures. More people are eating meat, and what we're doing isn't working. These animals are dying, partially, because of our misdirected efforts. We've got to reject all animal slaughter, even compassionate animal slaughter, making the effort to insist that no animal deserves to die. Philosophers sometimes lack a touch of the practical.

Animal rights philosophers rarely follow the evolution of the animal rights movement to its logical conclusion. We cannot provide sanctuary for every farm animal. Despite the wonderful feel-good work of the good people who run sanctuaries and solicit millions in funding, these rescued animals should not have been born to this earth. The logical conclusion of our so-called animal rights movement is that these sentient creatures should never be born to suffer.

The creatures living out their lives at farm sanctuaries are mere ambassadors representing ten billion other animals who will die this year to feed Americans. Twenty-seven million animals each day having their throats cut. During the time that it will take you to read this paragraph, over fifteen thousand animals will die. Read the preceding sentence aloud. Fifteen hundred chickens have had their throats slashed, and lay flapping atop each other, choking on their own blood.

Should not every American have the opportunity to view that same horrible carnage that we know all to well, over and over again? Does it really matter that each chicken spends her life in a confinement cage containing 3 additional square inches? Save these animals? For what, one might ask? Farm turkeys and pigs can no longer copulate. Males are too large to mount females. Farm "units" have been bred for high protein yield and low bone density. They live lives of pain because their skeletons cannot adequately support their own weight.

The compassionate among us would recognize that ending their pain is the ultimate conclusion for all who truly care about suffering. These artificial creatures should never have been engineered nor born. Today, the animal rights movement is misdirected. We delude ourselves by promoting compassionate slaughter. We make it easy for these animals to live their lives to their own painful and tortured conclusions. We make it easy for meat consumers to veil their collective consciousness. Have you taken note of the fact that meat eating is increasing? Our misguided efforts are partially responsible. We in the movement have made the journey of transition more challenging for meat eaters. We have arrived where we now are, vegans all, by recognizing the horror of slaughter.

Groups like the People for Ethical Treatment of Animals, Humane Society, and Farm Sanctuary lobby Congress to change laws making it easier for animals to die. Their laws make it easier for farmed freaks to live longer lives of pain, with the same ultimate conclusion. Their laws relieve the consciences of carnivores. We on this side of the fence should make it our priority to show the meat-eating public exactly what slaughterhouses produce. The blood. The eyes showing fear, and then pain.

Our strategy to relieve suffering relieves a universal conscience. The same strategy that brought us to understand death through violence should be intensified, not lessened. If all animals must die, then all animal eaters must take responsibility for their own participation in the slaughter. Our current strategy is to deny them their path to truth. In doing so, we provide a rationale for increased meat consumption. If the animals do not suffer, meat eaters reason, then there is no reason not to eat them.

It is not for us to spend millions of dollars to lobby members of a judicial body to enact compassionate slaughter laws. It is for us to lobby the hearts and minds of people who still have the ability to see.

Robert Cohen
http://www.notmilk.com

jeudi 12 juin 2008

Laval Pound Contract


A sad thing happened in Chomedey Laval yesterday. A neighbor was evicted, her meagre possessions picked up by a city truck and hauled away. I do not know of her personal problems.

But the saddest thing is that earlier that morning, her dogs that she loved very much, were taken away by Berger Blanc, the private company that took over the Laval pound contract by ruse and the help of Pierre Barnotti. Following the demise of the Laval SPCA, conniving and corruption entered the field because of the monies involved and free access to animals.

How are we to tell the mayor of his mistake ? That Berger Blanc sells dogs to Lamarche & Pinard for scrap yard guarding contracts, for puppy mills and laboratories ? And Joe Public is told they are put up for adoption. Crap!!! We now have a reliable witness to that effect. Who cares about the fate of the Laval dogs ?

Laval taxpayers got the shorter end of the deal since they will not be in a position to get their lost pet back. BB facilities are so far away in Montreal East End that if one do not own a car, it is quite impossible to get there in time to recuperate the dog before it is sold. Not counting on the fact that employees of the company will NEVER tell you over the phone that they have it. One has to go on the premises and look over the animals in ALL rooms, back yard included..

So far, stray cats are not threatened since one has to catch them first, then call the “service de cueillette” which will pick up the animals within 24 hours. Even though we will have a huge problem collecting and adopting the 15 cats that were dumped in Fabreville on Friday, we believe they were saved. The lady who abandoned them told us that her daughter took them to BB. We know better.

But what if the animal is injured ? And the pick up is within 24 hours and longer ? BB do not care about the suffering of an animal. The injured pet will be put in the back of the truck along with skunks and such and God knows what will happen to it afterwards. Is it a good solution for the animal to call that pound contractor ? If one does not want to get involved and rid the street of an injured animal, fine. Problem solved! But for an animal lover, knowing the fate that awaits a lost dog or an injured cat, another solution must be found.

Something must be done about that pound contract in Laval but I am short of power and ideas.




vendredi 30 mai 2008

Une affaire de filles

Le sauvetage des animaux au Québec, c’est une affaire de filles. Les gars font de l’argent sur le dos des animaux, les exploitent et les abandonnent. Les filles les ramassent, en prennent soin, dépensent pour leur bien-être et les accompagnent jusqu’à la fin.

Vous pensez que c’est la solution idéale ? Que çà résoud tous les problèmes ? Les gars vont penser çà. Et on va continuer à ramasser derrière eux, les animaux vont continuer à souffrir, les filles vont continuer à placer leur chat parce que le nouveau chum est « allergique » jusqu’au jour où elle va réaliser que c’est le chum le problème et qu’elle s’est débarrassée du chat inutilement. Oui, j’espère qu’elle aura des remords.

Plutôt que de trouver des solutions permanentes, régler des situations et voir à ce qu’ils ne souffrent plus, quanb on leur parle des usines à chiots et de ce qu’il faudrait faire pour les fermer, les petites filles fragiles vont faire dans le « dis-moi le pas, je veux pas le savoir ». News Flash : On n’aidera jamais les animaux de cette façon.

Pour trouver des solutions, il faut savoir où est le problème et s’informer. A date il est dans le manque d’éducation, l’indifférence et le manque de respect envers les animaux. On les traite comme une nuisance si on peut pas les exploiter. On fait des règlements pour s’en débarrasser, peu importe de quelle manière. Les municipalités gèrent le dossier comme n’importe lequel appel d’offres. Et les payeurs de taxes ne disent rien parce qu’ils ne sont pas informés.

J’aurais pensé que les filles qui passent leur fin de semaine sur internet à transférer des fichiers de folies auraient pu penser faire l’éducation de leurs contacts. A date, sur tous les messages que j’ai écrits pour sensibiliser, une seule fille m’a écrit qu’elle avait compris et était heureuse d’être informée.

Puis, il y a toutes ces filles qui attendent de gagner à la loto pour ouvrir leur refuge et sauver des chats et des chiens. Les pôvres! Les chances que çà se réalise sont tellement minces que les animaux continueront de souffrir si on attend après des sous de ces tirages frauduleux.

Impossible de s’unir pour construire un mouvement suffisamment fort au Québec pour changer la situation. Chaque fille a sa petite idée sur « comment faire » et ne veut pas travailler avec les autres. Certaines iront même jusqu’à nuire à celles qui agissent, font quelque chose plutôt que de les aider. Il me semble qu’il y a tellement à faire qu’on pourrait se compléter, chacune ferait son petit bout de chemin.

Catherine a essayé de créer une liste de discussion « Québec Animals » sur Yahoo pensant que l’on pourrait se rejoindre et travailler sur les solutions. Combien sont inscrites ?

Je me suis fait faire le coup par Sylvie la semaine passée. Non seulement elle a pris tous mes contacts pour son usage personnel (je les lui avais donnés de bon cœur car c’était pour les chats) mais son chum a dompé un fichu problème sur mon palier sans se soucier comment j’allais me débrouiller. Durant ce temps-là, tous ce qu’on avait construit pour les chats est à recommencer. Je dois trouver de nouveaux contacts et sources d’approvisionnement. Pourtant, il y avait de la place pour tout le monde.

Et ce n’est pas la première fois que çà m’arrive. Il y a 20 ans, Nicole Chartrand avait fait une crise à The Gazette parce que j’avais obtenu une annonce gratuite pour le placement des animaux et elle n’en avait pas. Résultat : The Gazette ne donne plus d’annonces gratuites. Mais c’est surtout au niveau des donateurs, les filles se les arrachent pour leur petit projet personnel alors que tant pourrait être accompli si elles voyaient l’ensemble de la situation.

J’ai cessé de penser que c’était de ma faute quand j’ai réalisé que le cancer existait dans tout le monde québécois du rescue, surtout du côté francophone. Les filles passent plus de temps à se donner des jambettes qu’à s’aider pour aider les animaux et çà, c’est vicieux. On devrait se préoccuper plus des animaux que des petites guérillas personnelles.

Si l’une est mal prise, plutôt que de l’aider, les autres vont dire « elle a couru après ». Durant ce temps-là, le BB ramasse ses animaux, tout le travail qu’elle a accompli retombe à zéro. Tant d’énergies perdues. Est-ce de la peur ou de la jalousie ? On a le droit d’avoir peur face à la mafia animale mais se permettre d’être jalouse parce que l’autre a une bonne idée qui fonctionne, çà c’est de la méchanceté.

J’avais mis de l’avant l’idée d’utiliser mon Réseau pour Animaux Perdus et Trouvés pour créer un réseau parallèle de refuges et sauver le plus d’animaux possibles. Combien se sont inscrites sur mon infolettre ? Combien les ont lues ? Pourtant elles sont publiées sur le site du RAPT. Si les filles avaient embarqué, on ne se bâdrerait même pas avec les problèmes de la SPCA. On aurait un réseau parallèle et une solution immédiate. Mais voilà, je ne peux faire toute seule.

Tous les jours je me sens privilégiée d’avoir internet pour écrire et essayer de trouver des solutions. Je ne peux plus courir derrière les trous-du c. qui martyrisent les animaux mais certainement que quelque part, un peu de mes écrits va rejoindre les décideurs.

Je n’ai pu résister à faire ma petite montée de lait.

dimanche 25 mai 2008

Y A PAS DE RÉVOLUTION SANS INFORMATION

Y A PAS DE RÉVOLUTION SANS INFORMATION


Il existe une industrie souterraine de l’animal de compagnie au Québec que vous devez connaître. Moi je l’appelle la mafia animale. Cette industrie brasse des millions au noir et les dirigeants ne sont pas achalés par l’impôt et ne s’en bâdrent pas non plus.

Comme payeurs de taxes, contribuables ou ami(e)s des animaux, vous vous devez de connaître les dessous de ce commerce lucratif qui opère ouvertement, au même titre que la drogue.

Pendant des années, je savais comment opéraient le Berger Blanc, Lamarche & Pinard ainsi que la SPCA à Barnotti mais je n’avais pas l’énergie et les ressources pour faire une enquête. Or, voilà que je viens d’entrer en contact avec un homme extraordinaire qui a pataugé dans ce merdier pendant 8 ans, a essayé d’aider les animaux, pour finalement abandonner parce qu’il n’en pouvait plus. Il a été discrédité parce qu’il parlait fort et que ce qu’il disait faisait du sens.

Or, cet homme est maintenant prêt à témoigner de ces opérations à la télé, et à visage découvert. « Les menaces de mort, je les ai toutes eues, alors je n’ai plus rien à perdre ». Comme moi il a tout perdu parce qu’il a voulu défendre les animaux.

C’est un homme connaissant, bien intentionné, mais surtout courageux. Je tiens à vous le présenter afin que vous sachiez bien qui vient de me confirmer ce que je savais et que ce ne sont pas que des ouî-dires.

J’insiste pour que vous lisiez jusqu’au bout afin de bien comprendre dans quoi le Québec patauge et que ce n’est pas joli. Pendant des années, j’essayais de comprendre où s’en allaient les chiens quand ils s’égaraient et que les maîtres ne les retrouvaient plus. J’en ai écris une partie sur notre site http://www.rapt-lfpn.org/ mais maintenant j’ai la confirmation de tout çà par ce témoin courageux.

Le lien entre l’entreprise Lamarche & Pinard qui opère une usine à chiots à Ste-Justine de Newton qu’on dénonce depuis 4 ans et les fourrières ainsi que Barnotti, aura été fait. Une industrie du chien opère avec la bénédiction des élus municipaux qui donnent les contrats de ramassage aux fourrières.

Je trouvais que le chenil du Berger Blanc sur Henri-Bourassa n’était pas bien grand pour contenir tous les chiens ramassés avec ses contrats lucratifs de fourrière. On compte la Ville de Montréal, Mascouche, etc. Alors j’ai la confirmation maintenant que les chiens de petites races et avec pedigree sont vendus à l’arrivée aux particuliers qui avaient passé la commande. Les dobermans, bergers allemands, rottweilers, etc. sont vendus à Lamarche & Pinard pour les contrats de gardiennage des cours à scrap avec les chiennes non stérilisées qui s’en vont sur la production dans ces endroits infects appelés usines à chiots. Quant aux labradors, goldens et autres mélanges, ils s’en vont dans les laboratoires. Les chats aussi.

Les cours à scrap

L&P a des contrats lucratifs avec des entrepôts, des concessionnaires d’autos, des cours à scrap pour des chiens libres sur leur terrain la nuit afin de décourager les voleurs. Vous devez comprendre que cette vie de chien est un enfer pour toute sa durée. Quand notre témoin faisait la ronde de ces clients, au moins les chiens étaient nourris. Nous n’avons pas l’assurance que c’est le cas maintenant.

Le chien vit dans une cabane sur le terrain durant le jour. Il peut mourir de froid l’hiver et suffoquer l’été, il appartient toujours à L&P et cette compagnie s’en fout. Il est relâché sur le terrain le soir quand les employés quittent. Ce chien est un système d’alarme. Il n’est peut-être pas attaché au bout d’une chaîne mais n’a aucune affection, aucune considération, peu ou pas de nourriture et d’eau.

Plusieurs filles en ont sauvé qui étaient sur le point de mourir dans ces lieux infects et souvent contaminés. Qu’à cela ne tienne, ils sont immédiatement remplacés par d’autres victimes.

Notre témoin a aussi été ramasser des chiens à la SPCA de Mtl et de Laval, du temps de Barnotti. C’était de l’argent comptant que Barnotti n’a eu aucun scrupule à mettre dans sa poche : aucun impôt, aucun compte-rendu aux membres confiants de la SPCA. Tout comme les chiens et les chats envoyés en Nouvelle-Ecosse par avion le lundi matin.

Les laboratoires

Berger Blanc fait écrire dans ses contrats de fourrière qu’il ne vend pas aux laboratoires. Or, c’est un nommé Grenier qui fait l'ouvrage pour lui et prend tous ses surplus de chats et de chiens pour les labos. Dans mon livre, c’est la même chose et ce sont deux complices.

Quand on parle de labos, on a toujours l’impression que les animaux sont envoyés aux USA. Surtout depuis qu’un chien micropucé a été retrouvé dans un labo américain et ses maîtres retracés. Or, ce n’est pas le cas, des labos il y en a surtout à Montréal et ils ne travaillent pas tous avec des souris. Notre témoin a livré des chiens au sous-sol de l’Hôpital Santa-Cabrini. N’allez pas croire que les chats que vous entendez miauler à l’Hôpital Ste-Justine sont là pour de la zoothérapie. Sans compter Mc-Gill et l’Université de Montréal qui en font une consommation importante.

Non, l'expérimentation sur les animaux n'est pas utile. N'importe quel tizoune va se chercher une subvention pour faire souffrir inutilement des animaux et nous, payeurs de taxes en faisons les frais. Je ne veux pas que ma petite pension s'en aille dans ce genre de cruauté.

C’est un sort cruel pour les animaux de finir ainsi dans l’expérimentation inutile mais il y a aussi le côté « consommateur ». Ce sont les contribuables qui paient les contrats de fourrière. Ce sont les propriétaires d’animaux qui sont bernés quand ils apportent un animal à BB et qu’on leur promet qu’il sera adopté. Tu y retournes le lendemain et l’animal n’est plus là ou ne s’est jamais rendu au chenil de la rue Henri-Bourassa parce qu’il a été revendu avant que son maître puisse partir à sa recherche.

Les euthanasies

On m’a raconté cette semaine mais je ne peux le confirmer. Un jeune homme a travaillé chez BB. Quand venait le temps de la mise à mort, on donnait à ces jeunes une bouteille d’euthanil et une seringue et ils piquaient les animaux. « On piquait n’importe où, des fois ils mouraient tout de suite mais d’autre fois c’était long et dans de grandes souffrances ».

Est-ce que c’est encore comme çà ? Je ne peux le confirmer. BB n’a jamais eu de véto en permanence. A un moment donné, il se séparait le temps du Vet Beaulieu avec la SPCA.

Une fille m'a raconté qu'elle avait amené un de ses chats à la SPCA pour le faire adopter "dans une bonne famille". La fille au comptoir lui a promis qu'il serait mis en adoption car c'était un beau chat.

Or, le lendemain, la fille, prise de remords retourne à la SPCA pour reprendre son chat. Elle le retrouve dans une de ces petites "calisse" de boites bleues avec la mention "euthanasie" dessus. Le chat avait passé la nuit là-dedans, était couvert de merde. Inutile de vous dire qu'elle l'a repris. Çà c'était du temps de Barnotti. C'est comme çà que les animaux étaient traités à la SPCA. Qu'est-ce que vous pensez qui arrivait aux animaux apportés pour euthanasie ? On vous demandait de les laisser là car il n'y avait pas de vétérinaire sur place. Si le vet passait deux jours plus tard, l'animal malade restait sans manger, tout seul, dans une petite boite bleue.

Ce n'est guère mieux aujourd'hui. Depuis qu'il est en "congé de maladie", Barnotti dirige les employés par en arrière. Etant syndiqués, les employés se foutent de tout. Alors il leur a fait installer des pancartes au refuge de Laval pour dire au monde d'aller porter leurs animaux au BB. A Montréal, ils sont moins subtils, ils refusent carrément de prendre un animal abandonné et donnent un papier avec l'adresse du BB. C'est de la connivence et de la cruauté envers les animaux. Le nouveau conseil d'administration essaie de régler les cas un à un mais Barnotti trouve toujours une nouvelle façon de les faire chier.

Anima-Québec

Ah ! Ah ! Vous pensiez qu’Anima-Québec était au-dessus de tous soupçons et qu’elle prendrait la relève ? Détrompez-vous.

La directrice a carrément dit à la télé qu’Anima-Québec était partenaire avec BB. Les chiens n’ont plus aucune chance au Québec. Une couple de saisies dont on a entendu parler que BB a fait pour Anima-Québec ont été un désastre. A St-Paul de la croix, l'employé du BB a tué un chien à coup de pieds. BB ne sait pas transporter des chiens. Les employés les mettent pêle mêle dans un camion cube. Au bout du voyage il y en a 3-4 de morts, ils se sont battus à cause du stress. Mais pour ceux qui restent où sont passés les chiens saisis ? Qu’est-il advenu du mandat et de la poursuite? Mystère.

Pourquoi pensez-vous que les usines à chiots continuent d’opérer en toute liberté ? Un membre du C.A. d’Anima-Québec (laquelle est chargée d'inspecter les usines) représente l’industrie des animaleries (PIJAC) qui vend les chiots produits dans ces usines. Pierre Couture du BB est le représentant de cette industrie pour le Québec. Commencez-vous à voir les liens ?????

En conclusion

Çà fait un moment que je vous l’écris, que je le répète mais là j’ai la confirmation. BB essaie de se faire passer pour un « organisme ». Rien de tel. C’est une compagnie privée comme toutes les fourrières du Québec.

Il réussit certainement à se faire passer pour un organisme comme en s’associant avec le site Vétérinet car des personnes bien-pensantes offrent d’y faire du bénévolat ou envoient des dons.

Les trois cœurs de pierre comme on les appelle : Pierre Couture du Berger Blanc, Pierre Barnotti de la SPCA et Pietro Ruscito (maintenant décédé) de Lamarche & Pinard sont les trois grands acteurs de la souffrance animale au Québec. Ces trois hommes sont liés comme les doigts d’une même main, extrêmement riches et puissants pour avoir profité de l’ignorance des québécois en leur volant leurs animaux sous de faux prétextes, en revendant ces petits êtres incapables de se défendre et en donnant à la société une image d’hommes d’affaires florissants.

Leur argent leur a apporté l’appui des policiers, des procureurs de la couronne, des élus et des fonctionnaires des diverses municipalités qui ferment les yeux car leur problème est réglé: il n’y a plus de chiens qui traînent les rues comme en Roumanie.

Est-ce cela que vous voulez pour les animaux de compagnie de Laval ?

Janine Larose, fondatrice
Réseau pour Animaux Perdus et Trouvés

P.S. J’ai caché mon adresse depuis plusieurs années pour ne pas mettre en danger la vie des autres locataires de mon bloc mais je sais que Pierre Couture a mis ma tête à prix. Il va aussi essayer de miner ma crédibilité avec un dossier qu’il a monté de toute pièce avec la collaboration des élus de Mascouche. Je donnerai plus de détails au fur et à mesure.

lundi 28 avril 2008

PRÉDATEURS DES ANIMAUX DE COMPAGNIE

PRÉDATEURS DES ANIMAUX DE COMPAGNIE

Décidément, les tentacules de la mafia animale continuent de se répandre. Après le départ de Barnotti, qui, on l’espère sera permanent, voilà que le prédateur no 2, Pierre Couture du Berger Blanc continue à faire des siennes.

Avec internet, leurs pratiques sont mises au jour et leur règne achève. Ils ne pourront plus voler les animaux comme ils veulent. L’information circule trop vite.
Voir http://www.miliceanimalemilitia.com/#anchor_424

Est-ce que je vous ai raconté l’histoire de ma chum qui a acheté un chat de race dans le parking du BB ? Elle en était au tutoiement avec l’employée qui l’avait appelée quand l’animal s’est présenté à la fourrière. Elle l’appelait son amie. Elle a eu l’himalayen pour $75. Est-ce que l’ancienne maîtresse du chat continue de le chercher ? L’histoire ne dit pas comment il était arrivé à la fourrière non plus. J’ai dû faire l’éducation de ma chum sur les pratiques du BB. Çà a été long, je l’avoue.

Mais pour Zazi, dont on a publié l’histoire (http://www.rapt-lfpn.org/fr/250308.html)
les preuves papier sont là et ne mentent pas. L’animal a été revendu en arrivant à la fourrière du BB et ils ne veulent pas l’admettre. Evidemment, la Ville de Mascouche est au courant de ces pratiques mais continue à donner le contrat à BB. Vous comprendrez plus tard toutes les connections. Mais on peut dire que c’est le payeur de taxes qui n’en a pas pour son argent et que les élus s’en fichent. Le maire Marcotte est parfaitement au courant de ces pratiques, le chef de police et plusieurs de ses policiers corrompus aussi.

Pierre Couture et ses employés sont passés maîtres dans l’art de la fabrication de preuves, de salissage des réputations et de parjures. Pour çà aussi j’ai les preuves papier. On a essayé de me faire taire et de m’handicaper dans ma campagne pour la défense des animaux en mettant le feu dans la remorque où se trouvaient mes biens. J’avais eu le temps de déménager mes papiers ailleurs et ils ont été sauvés. J’en ai une filière pleine. Puis, j’imagine que le palais de justice de Joliette n’a pas tout jeté, là aussi j’en ai au moins un tiroir de filière latérale plein. Grâce à Pierre Couture, j’avais un billet de saison pour la Cour de Joliette et la Cour municipale de Mascouche.

Or, voilà qu’avant que j’aie eu le temps de tout écrire sur mon blog avec preuves à l’appui, Couture a mis une taupe sur ma liste d’envoi du RAPT. C’est pas mauvais que la vérité sorte et lui arrive en pleine face. Mais quand il aura l’adresse de mon blog, je devrai déménager pour ne pas mettre en danger les locataires de mon immeuble. Couture est comme çà, il paye quelqu’un pour mettre le feu quand il ne peut plus détruire la personne. .

Un jour, il m’avait glissé à l’oreille « Toi, Janine, une bonne journée quelqu’un va mettre le feu à ton refuge ». Je l’ai pris au sérieux et pendant des années j’ai dormi près de mes animaux pour surveiller. Je vous raconterai plus tard.

Je me suis fait venir sur Amazon.fr un petit livre intitulé « Le Harcèlement moral : la violence perverse au quotidien ». L’auteur y décrit Couture sous toutes ses coutures. lol

Exemple : Rabaisser les autres afin d’acquérir une bonne estime de soi lui paraît légitime. Il n’y a aucun respect envers autrui. Ce qui frappe, c’est une animosité sans borne pour des motifs futiles, et une absence totale de compassion pour les personnes acculées à des situations insupportables.

Car il ne faut pas oublier que je n’ai jamais su pourquoi Couture m’haissait tant. Il ne le sait peut-être pas lui-même. Il n’a certainement aucune empathie pour les animaux, encore moins pour les humains. Il prétend aimer ses filles mais tu devrais entendre le ton qu’il prend pour parler à sa femme.

Comme disait Louise A. récemment, c’est le prochain target. Quand les enquêtes commenceront à rentrer dans l’administration de ses différents contrats de fourrière, lui aussi sentira que çà chauffe. J’espère qu’on arrivera à la gang à lui faire lâcher prise sur les animaux.

vendredi 21 mars 2008

LA MAFIA ANIMALE

LA MAFIA ANIMALE

Protéger les animaux au Québec, ce n’est pas une mince affaire.

Tous les jours, de nouvelles ramifications sont mises à jour entre les différents acteurs de l’esclavage des animaux. Cette race-là, çà se tient comme une famille mafieuse. Ils se protègent les uns les autres. Je dis "ils" car il y a rarement des femmes dans ce groupe.

Je viens de découvrir un lien que personne n’aurait pu imaginer existait. J’avais la plus haute estime pour M. Legault, le propriétaire de MONDOU. Même s’il avait toujours refusé de commanditer le RAPT, lui préférant Mira, c’était correct avec moi. J’étais une cliente depuis toujours de ses magasins et je m’en accomodais.

Or, en janvier 2008, j’ai communiqué avec le bureau-chef pour avoir la permission de faire des journées d’adoption dans ses magasins à Laval. J’ai parlé avec Dominique Rousseau des relations publiques à plusieurs reprises. Je me demandais toujours pourquoi elle ne voulait pas répondre à mes courriels mais exigeait toujours que je la rappelle. Mon numéro étant confidentiel, je ne le lui ai jamais donné. Heureusement d’ailleurs!

Après deux mois d’attente, je me suis mise à l’appeler tous les jours pour connaître la décision de la compagnie. Elle bafouillait, ne savait pas quoi me répondre, trouvait des excuses pour traîner l’affaire. Or, hier elle a donné le coup de grâce.

Vu le désintéressement de sa part, j’avais trouvé un commanditaire pour l’Opération Félix : Multi-Menu. Même que j’avais mis le logo sur notre site internet. Et c’est l’excuse que Dominique Rousseau a trouvée pour nous refuser l’accès aux magasins de Laval. Même s’il n’était pas notre intention de promouvoir Multi-Menu lors des journées d’adoption, elle ne savait plus quoi dire.

J’en suis pas restée là.

Plusieurs groupes de bénévoles qui font leurs journées d’adoption dans les magasins Mondou ont le logo sur leur site mais aussi celui de d’autres commanditaires compétiteurs.

Mon contact à la SPCA m’avait laissé entendre que Barnotti m’haissait à mort et qu’une chance qu’il n’avait pas mon adresse car j’aurais reçu une mise en demeure comme les autres. Voyez vous venir le lien ?

Mondou est le fournisseur de litière officiel pour la SPCA. Non seulement çà, mon contact m’assure que le magasin dans les locaux de la SPCA est une succursale de Mondou.

Évidemment comme disait Dominique Rousseau, elle n’avait pas d’objections aux journées d’adoption des chats dans leurs magasins de Laval mais elle n’a jamais été assez honnête pour me dire que Barnotti était en dessous de toute l’affaire et que c’était son lien d’affaires avec M.Legault qui nous barrait la route.

Et c’est comme çà depuis des années. Jour après jour, je trouve toujours ces connections, même si les mafieux ne sont pas assez honnêtes pour dire la vérité. La vérité refait toujours surface. Un plus un çà fait encore deux.

Ma conscience ne me permet pas de me taire et de laisser ces individus profiter monétairement des animaux sans rien leur donner en retour, même pas du respect. Vous comprenez pourquoi maintenant je dois garder mon adresse confidentielle afin de protéger les autres locataires de mon bloc.

Tout le monde sait qui je suis même si on ne veut pas l’admettre. Je ne me cache pas derrière ce blog pour dénoncer les agissements de la mafia animale. Mais je m’en sers afin que la vérité soit connue. Vous savez comme moi qu’on ne peut compter sur les médias. Malheureusement, il y a encore des bénévoles qui ne comprennent rien et d’autres qui acceptent de fermer les yeux pour aider leur cause.

Dans le monde des affaires comme dans celui des animaux, l’hypocrisie est monnaie courante.

lundi 18 février 2008

CORRUPTION AU SERVICE DE POLICE



Déjà en 1986, les mascouchois avaient des doutes quant à leur corps de police. Suite à un règlement municipal, les résidents qui avaient un système d'alarme sur leur maison, devaient avertir le service de police quand ils partaient en vacances.


J'étais alors à l'AFEAS et une femme m'a demandé ce qu'on pourrait faire: il y avait plusieurs personnes qui se plaignaient que leur maison était dévalisée pendant leurs vacances puis les voleurs mettaient le feu. Les plaintes au service de police n'avaient mené nulle part et çà continuait.


Belle innocente, je proposai qu'on écrive à la Commission de Police de l'époque pour savoir quoi faire. Ce ne devait pas être la première plainte car les détectives de la Commmission ont débarqué au poste de police de Mascouche et ce fut toute une investigation.


Le chef a été blâmé pour bien des choses et je pensais qu'un ménage avait été fait. Çà n'a jamais été le cas. On a changé de chef mais la corruption a demeuré comme on le verra plus loin.C'est beaucoup plus tard qu'on a été mis au courant car le chef ne s'en est pas vanté. Le chargé de rapport de cette inspection est parti en congé de maladie et le rapport n'est sorti qu'en 1988. On m'en a envoyé copie mais il n'y avait plus rien à faire car la Commission de police avait été dissoute et les plaintes étaient en "limbo". C'est le Québec.....


Mais c'était mon nom qui était au bas de la plainte et çà, les policiers ne l'ont jamais oublié et je devais en payer le prix. Les autorités avaient été jouer dans leur talle et j'en étais responsable parce que j'avais attaché le grelot. Vous voulez savoir le lien ? La femme de Pierre Couture était réceptionniste pour le corps de police de Mascouche.


Après bien du taponnage avec le conseil de ville, le chef a été congédié mais non sans avoir reçu un paquet d'argent à ne rien faire. Çà a coûté une fortune aux contribuables et on n'a jamais su exactement les raisons invoquées pour ce congédiement.
Je m'étais toujours demandé ce qui était advenu dudit chef de police Paterson. Je dis souvent qu'il n'y a pas de hasard mais l'autre jour, je suis tombée sur un item du journal local qui est apparu dans une fenêtre de mon gmail. Ledit Paterson qui vivait à Laval venait de mourir sur la table d'opération. Evidemment que le journaliste en était attristé...... hypocrite, va!


J'ai réussi à mettre le curseur sur la photo qu'il a publié. Je ne pouvais laisser passer l'occasion de vous transmettre ici la face de singe qui a parti tous mes problèmes. Lors d'une audition en Cour de Joliette, je l'avais convoqué comme témoin. On attendait dans la salle et un policier lui a raconté une histoire incroyable de ce qui était arrivé à un jeune couple de Lachenaie. Je n'ai pu confirmer si c'était vrai car çà n'a jamais fait les manchettes. Mais je me suis dit dès lors que je ne perdais rien pour attendre.


Au moment où le gouvernement du Québec essayait d'amalgamer les corps de police par MRC, celui de Mascouche s'est essayé avec celui de Lachenaie. Ils n'ont pas fait deux ans et se sont séparés. Çà non plus çà n'a pas fait les manchettes mais les tensions étaient tellement fortes au sein du corps de police de Mascouche que la bagarre a éclaté lors d'un party de Noel à la brasserie. Ladite brasserie se trouvait sur le territoire de Lachenaie et ce sont les policiers de cette municipalité qui sont venus gérer le problème. Comme d'habitude tout s'est éteint et aucune accusation n'a été portée. C'est le Québec.....

samedi 16 février 2008

INTRODUCTION

MA VÉRITÉ

Il y a toujours trois versions d’un événement : la mienne, la leur et la vraie.

Comme je ne suis pas responsable des mensonges de mes tortureurs, je vais décrire ici comment j’ai vécu les 15 dernières années de ma vie, comment j’ai été dépossédée de mes biens et de mes chiens par Pierre Couture, par des faux affidavits des employés de la ville de Mascouche et comment ils ont trompé le Juge qui les autorisés à vandaliser ma propriété.

Tant qu’on n’est pas passé par là, on ne peut s’imaginer que le corps de police est corrompu, que Pierre Couture était de connivence avec les employés de la Ville pour torturer mes animaux, puis me les voler et faire croire à mes voisins que j’étais une collectionneuse d’animaux. Etrange, cependant, JAMAIS une accusation de cruauté n’a tenu la route. Oh! Ils se sont bien essayés comme je vais le démontrer mais j’ai eu la chance d’avoir un juge qui a vu dans leur jeu.

Vous aurez donc l’opportunité de glisser des commentaires dans mon blog, lesquels il me fera plaisir de lire car mon histoire en entier n’a jamais été racontée à personne. Non pas que j’en avais honte mais c’est comme un divorce, des fois on aime oublier. Des fois aussi, les personnes qui nous côtoient ne peuvent croire que quelque chose d’aussi gros a pu se passer sans que les médias en soient alertés. Mais voilà. Un jour, il faut que çà sorte et que certaines choses soient dites.

Je demeure convaincue de n’avoir pas été la seule victime des policiers corrompus de Mascouche mais que d’autres n’ont pas le courage de parler.

Oui, je vais nommer des noms. Tant mieux si on me poursuit car je n’ai plus rien à perdre et ce sera une opportunité extraordinaire de faire connaître la vérité sur la mafia animale du Québec.

Sincèrement,

Janine