Nous pensions que tous les problèmes de la SPCA reposaient sur les épaules de Barnotti et disparaîtraient avec son départ. Erreur!
Des informations vérifiées me portent à croire qu'il y a un problème majeur au service des inspections qui a mené au vol de chiens le mois passé comme dans les années 80 alors que les inspecteurs étaient tellement effrontés qu'ils allaient voler les animaux et portaient des accusations de cruauté contre n'importe qui qui n'avait pas les moyens de se défendre.
Les propriétaires d'usines à chiots n'ont jamais été importunés et ont prospéré au point de devenir un fléau dans cette province avec l'appui des inspecteurs municipaux, ceux de la SPCA et la police. Ils travaillent au noir et avaient toujours du "cash" pour régler les situations.
Donc, je disais, le mois passé, on a rapporté à la SPCA un cas de cruauté flagrant à Mirabel. On avait un témoin crédible pour supporter la saisie. Malgré tous nos efforts et insistences, la directrice Alanna Devine a fait répondre immédiatement "qu'il n'y avait pas assez de preuve".
On sait mieux. La vérité ressort toujours, pourvu qu'on se parle.
L'inspecteur Nathalie Bouillé était allée à cette adresse il y a une couple de mois et n'avait rien fait, elle avait fait comme d'habitude et reviré à la porte de la grange. Le tortureur se vantait à qui veut l'entendre qu'il n'avait pas peur de la SPCA. Je pense même que c'est lui que j'avais rencontré à Mirabel et qui m'avait dit sans que je lui demande qu'il n'avait qu'à glisser de l'argent à l'inspecteur et çà se réglait vite.
Or, le même tortureur s'est vanté à son voisin encore la semaine passée qu'il venait d'être avisé par Nathalie Bouillé de déménager ses chiens. Çà c'était le mardi. Le vendredi matin, les poudrées d'Anima-Québec se sont présentées sur place. Elles n'ont rien inspecté, évidemment, il n'y avait personne, pas même de chiens. Çà n'aurait pas fait grand différence car AQ n'aide pas les chiens et ne les protège pas contre les tortureurs. "Elle fait des recommandations". Les propriétaires d'usines à chiots s'en fichent tu des recommandations ?
Anima-Québec a toujours dit que son service d'inspection était à l'épreuve de la corruption et que ses inspections n'étaient pas annoncées. Si le tortureur dit vrai et je le crois, c'est comme çà qu'il opère un lieu de torture dit usine à chiots depuis plus de 20 ans et n'a jamais été dérangé.
Quand Nathalie Bouillé va voler des chiens en santé et bien gardés dans des conditions idéales à St-Lin pour laisser les autres aux mains d'un psychopathe qui a un caniche avec une blessure profonde non traitée, une femelle boxer sur le point d'accoucher attachée dehors par moins 20, quelqu'un ne fait pas sa job.
C'EST QUI, QUI VA PROTÉGER LES ANIMAUX ? QUI VA PROTÉGER LEURS PROTECTEURS CONTRE LES RAFLES NON JUSTIFIÉES ET NON JUSTIFIABLES ? ET QUI VA PROTÉGER CEUX QUI DÉNONCENT CES EXPLOITEURS ET ABUSEURS D'ANIMAUX CONTRE LEURS MENACES ?......."
Le conseil d'administration de la SPCA et celui d'AQ ont besoin d'une sérieuse prise de conscience.
Pourtant, tous ces inspecteurs sont déjà rentrés dans une usine à chiots et en connaissent les horreurs. Leur cupidité l'emporte sur leur sens du devoir. Les personnes qui ont procédé à leur nomination doivent aussi prendre la responsabilité de la mort de tous ces petits êtres sans défense dans des conditions horribles.
samedi 27 décembre 2008
mardi 23 décembre 2008
CAROLE LAPALME, NON COUPABLE ?
DOSSIER CAROLE LAPALME, SAISIE D’UN REFUGE OU D’UNE USINE À CHIOTS ?
Malgré nos efforts répétés depuis trois semaines, la présence de témoins crédibles et un échange de correspondance avec la SPCA et la Humane Society, nous n’avons pu faire inspecter la grange décrépie d’une usine à chiots à Mirabel car Nathalie Bouillé, l’inspecteur de la SPCA a jugé qu’il n’y « avait pas suffisamment de preuve ». Pour le moment, je ne discuterai pas les dessous de cette affaire car il y a un cas plus urgent.
C'est la même Nathalie Bouillé qui s’est rendue à St-Lin avec la police, camions de la HSI, etc pour inspecter et saisir un REFUGE opéré par une dame qui ne pensait qu’à faire du bien aux animaux et aux jeunes désoeuvrés du coin. La dame avait les permis nécessaires, était bien connue des voisins qui l’appuyaient et qui n’en reviennent pas encore de cette intervention. Elle avait réussi à placer 62 animaux dans la dernière année et ne demandait rien pour prendre les abandonnés du voisinage.
La mauvaise publicité montée en épingle par la SPCA (en fournissant des images qui n'avaient rien à voir avec son refuge car aucun média n'était sur place lors de la saisie) a aussi eu pour effet de faire croire à des activistes que la dame était coupable, même avant le procès et un petit groupe s’est rendu à Joliette à l’ouverture du procès pour manifester devant le palais. Je les avais prévenu que Loranger le Procureur de la Couronne était corrompu et de faire attention. J’espère qu’elles comprennent maintenant pourquoi il ne voulait pas leur parler.
Nous pensions qu’avec le départ de Barnotti, ce genre de saisie disparaîtrait. Il semble que non. Donc, le problème est plus profond à la SPCA, au niveau du personnel et des inspecteurs. Le nouveau conseil n’a pas plus de contrôle sur les employés et les pommes pourries sont encore dans le baril.
Quand j’entends Davenport et ses semblables dire lors de saisies que c’est le pire cas qu’ils ont vus, je me demande si c’est parce qu’ils n’ont pas de mémoire ou pour faire du sensasionnalisme. Alors qu’aucun média n’était présent lors de la saisie dans ce refuge, comment se fait-il que des images grossières ont été montrées à la télé. D’où venaient ces images ? L’avocat de la dame se le demande. Ou bien les médias ont montré n’importe quoi ou bien des supposées images leur ont été fournies par Nathalie Bouillé pour discréditer la dame. Mais tous les voisins qui ont visité le refuge sont d’accord pour dire que ces images ne viennent pas du refuge. Donc…..
Comme je disais, on pensait que la fabrication de preuves était finie avec l’ère Barnotti et qu'un peu d'honnêteté prévaudrait dans les témoignages. Il semble qu’il règne encore sur les inspecteurs de la SPCA. Tant que le public ne s’ouvrira pas les yeux et les oreilles, d’autres animaux subiront le même sort et d’autres humains auront la vie brisée. Nous avons des caisses de documents démontrant les vols d’animaux par la SPCA, du temps de Barnotti et avant. Nous venons d’ouvrir une autre caisse pour mettre le dossier de ce refuge.
La dame a plaidé non coupable aux accusations de la SPCA et doit dépenser des sommes importantes pour se défendre. Il semble que son avocat ait compris le fond de l’histoire, ce qui est rare dans ce domaine. Les avocats de la défense sont là pour faire de l’argent, pas pour défendre des femmes accusées faussement. Mais personne ne comprend d’où cette affaire origine. Qu’est-ce qui a déclenché la débâcle ? C'est toujours comme çà avec la SPCA. Pour justifier leurs actions et fabriquer d’autres preuves, ils comptent sur le secret et la connivence, les faux témoignages et leurs contacts dans les médias.
Le procès est long et pénible pour cette amoureuse des animaux. Pénible surtout avec la divulgation de la preuve car c’est comme çà que la dame a appris que son chien arthritique de 12 ans qui avait besoin de médicaments (elle l’avait dit à la Bouillé le matin de la saisie) a tout simplement été euthanasié. La petite chienne qui dormait sur son oreiller depuis 13 ans, disparue aussi. Le chien dressé qui avait comme mission de garder l’écurie contre les voleurs, tué aussi. Il n’avait que 2 ans.
Au lendemain de la saisie, la dame a demandé à la Bouillé pour aller voir ses chiens, pour les rassurer et les calmer. La Bouillé a fait réponse « vos chiens ne sont déjà plus à Montréal ». C’est quoi cette réponse ? En autant que je sache, au Québec, les biens saisis ne peuvent être disposés avant la fin du procès. On a vu dans les médias que la HSI était partie aux états avec 50 chiens. Etait-ce ceux du refuge ? Personne ne le sait car les chiens des deux dernières saisies ont tous été mêlés et comme ils ne parlent pas, personne ne peut dire d’où ils viennent, sauf leur propriétaire.
Elle et son avocat n’arrivent pas à comprendre ce qui s’est passé, qui a fait une plainte de cruauté et sur quelles bases. Le dossier est mal monté et surtout, c’est la corruption dont souffre le procureur de la Couronne Loranger (je n’ai aucun problème à l’écrire car j’ai des preuves de connivence) et sa connivence avec la SPCA et le Berger Blanc qui a permis d’obtenir un mandat de perquisition et la saisie de ces chiens.
Comme l’écrit Julius Grey, la corruption existe à tous les niveaux mais encore faut-il en faire la preuve pour s’en débarrasser. Les gens savent mais n’oseront pas venir témoigner car ils ont peur d’avoir peur. Comment une brave femme peut-elle se défendre si personne ne se présente pour l’aider ? Le dossier est tout croche mais il faut le démontrer au juge en espérant que Loranger n’aura pas parlé au juge avant comme il le fait souvent.
Qui dit inspecteur dit corruption. La tentation est trop forte. Que ce soit au niveau municipal ou de la SPCA, le principe est le même. Les propriétaires d’usine à chiots ont plein d’argent « cash » pour acheter la paix mais cette dame, tous ses avoirs passaient sur ses animaux. La dame qui est déclarée invalible depuis plus de 5 ans souffrant d'arthrite rhumatoide inflammatoire dégénératrice a quand même poursuivi sa mission de refuge. Mais aujourd'hui, elle a besoin d'aide, de témoignages de personnes qui en savent long sur les méthodes de saisie de la SPCA. Nous espérons qu'ils auront le courage de se montrer.
Cette saisie est tellement illogique pour ne pas dire frauduleuse, comment se fait-il que la dame qui était supposément si cruelle envers les animaux au point de lui mettre une charge, ne l’était pas pour ses chevaux qui lui ont été laissés ainsi que deux autres chiens. Mais on lui a pris la petite chienne qui vivait dans la maison et dormait dans son lit.
Non, la maison n’était pas un taudis et l’écurie non plus. Les voisins qui fréquentaient la dame sauront vous le dire. Les enfants qui allaient s’occuper des chiens ont eu le cœur brisé par toute cette affaire et ne comprennent pas. Nous non plus d’ailleurs. La dame devra maintenant se défendre non seulement devant la Cour mais devant les médias, devant le public qui oublie bien vite car sa réputation a été entachée et par le fait même le travail de toutes les protectrices des animaux.
CONCLUSION
Voilà une dame qui s’était donné comme mission de protéger les animaux et d’aider les humains. Elle vient de comprendre que ce sont les humains qui sont cruels et pas nécessairement ceux qu’on pense.
Lle matin de la saisie, elle s’en allait à Joliette pour un examen médical important et n’a pu suivre le vol de ses chiens sur sa propriété. La Bouillé a simplement répondu, sans cœur, à son frère qui devait l’y conduire « c’est çà, amenez la, ce sera mieux pour elle ». Mieux pour elle ? Ou mieux pour la Bouillé ? Elle pouvait ainsi procéder sans témoin au vol des animaux. Qui dit qu’il n’y a pas d’autres éléments de preuve qui ont aussi disparu, comme les carnets de santé des chiens, la facture de vétérinaire de $400 pour la dernière opération, etc.
Le Québec n’a pas besoin d’autres lois de protection des animaux si c’est pour s’en servir contre les protectrices des animaux. La SPCA n’est pas capable de fermer de « vraies usines à chiots », on a les preuves de çà, alors même si on demande d’autres lois, si elles sont mal appliquées, çà ne servira pas les droits des animaux à une vie meilleure.
La seule chose décente à faire maintenant par la SPCA, c’est qu’avec tout ce qu’ils ont entendu au procès à date, c’est de retirer les accusations contre cette dame et de lui remettre, avec leurs excuses, ses chiens, s’ils peuvent les retrouver bien entendu car ils en perdent souvent.
NOUS NE POUVONS SUPPORTER QU’UN ORGANISME EN QUI CERTAINES PERSONNES AVAIENT MIS LEUR CONFIANCE, FASSE DU TORT À UN REFUGE SIMPLEMENT PARCE QU’IL LEUR FAIT DE LA COMPÉTITION.
INADMISSIBLE!!!!
Autrement, c'est tout le travail de ces petits refuges qui est compromis et les animaux ne peuvent se permettre de perdre des protectrices car on vient de le voir, on ne peut pas compter sur la SPCA.
Malgré nos efforts répétés depuis trois semaines, la présence de témoins crédibles et un échange de correspondance avec la SPCA et la Humane Society, nous n’avons pu faire inspecter la grange décrépie d’une usine à chiots à Mirabel car Nathalie Bouillé, l’inspecteur de la SPCA a jugé qu’il n’y « avait pas suffisamment de preuve ». Pour le moment, je ne discuterai pas les dessous de cette affaire car il y a un cas plus urgent.
C'est la même Nathalie Bouillé qui s’est rendue à St-Lin avec la police, camions de la HSI, etc pour inspecter et saisir un REFUGE opéré par une dame qui ne pensait qu’à faire du bien aux animaux et aux jeunes désoeuvrés du coin. La dame avait les permis nécessaires, était bien connue des voisins qui l’appuyaient et qui n’en reviennent pas encore de cette intervention. Elle avait réussi à placer 62 animaux dans la dernière année et ne demandait rien pour prendre les abandonnés du voisinage.
La mauvaise publicité montée en épingle par la SPCA (en fournissant des images qui n'avaient rien à voir avec son refuge car aucun média n'était sur place lors de la saisie) a aussi eu pour effet de faire croire à des activistes que la dame était coupable, même avant le procès et un petit groupe s’est rendu à Joliette à l’ouverture du procès pour manifester devant le palais. Je les avais prévenu que Loranger le Procureur de la Couronne était corrompu et de faire attention. J’espère qu’elles comprennent maintenant pourquoi il ne voulait pas leur parler.
Nous pensions qu’avec le départ de Barnotti, ce genre de saisie disparaîtrait. Il semble que non. Donc, le problème est plus profond à la SPCA, au niveau du personnel et des inspecteurs. Le nouveau conseil n’a pas plus de contrôle sur les employés et les pommes pourries sont encore dans le baril.
Quand j’entends Davenport et ses semblables dire lors de saisies que c’est le pire cas qu’ils ont vus, je me demande si c’est parce qu’ils n’ont pas de mémoire ou pour faire du sensasionnalisme. Alors qu’aucun média n’était présent lors de la saisie dans ce refuge, comment se fait-il que des images grossières ont été montrées à la télé. D’où venaient ces images ? L’avocat de la dame se le demande. Ou bien les médias ont montré n’importe quoi ou bien des supposées images leur ont été fournies par Nathalie Bouillé pour discréditer la dame. Mais tous les voisins qui ont visité le refuge sont d’accord pour dire que ces images ne viennent pas du refuge. Donc…..
Comme je disais, on pensait que la fabrication de preuves était finie avec l’ère Barnotti et qu'un peu d'honnêteté prévaudrait dans les témoignages. Il semble qu’il règne encore sur les inspecteurs de la SPCA. Tant que le public ne s’ouvrira pas les yeux et les oreilles, d’autres animaux subiront le même sort et d’autres humains auront la vie brisée. Nous avons des caisses de documents démontrant les vols d’animaux par la SPCA, du temps de Barnotti et avant. Nous venons d’ouvrir une autre caisse pour mettre le dossier de ce refuge.
La dame a plaidé non coupable aux accusations de la SPCA et doit dépenser des sommes importantes pour se défendre. Il semble que son avocat ait compris le fond de l’histoire, ce qui est rare dans ce domaine. Les avocats de la défense sont là pour faire de l’argent, pas pour défendre des femmes accusées faussement. Mais personne ne comprend d’où cette affaire origine. Qu’est-ce qui a déclenché la débâcle ? C'est toujours comme çà avec la SPCA. Pour justifier leurs actions et fabriquer d’autres preuves, ils comptent sur le secret et la connivence, les faux témoignages et leurs contacts dans les médias.
Le procès est long et pénible pour cette amoureuse des animaux. Pénible surtout avec la divulgation de la preuve car c’est comme çà que la dame a appris que son chien arthritique de 12 ans qui avait besoin de médicaments (elle l’avait dit à la Bouillé le matin de la saisie) a tout simplement été euthanasié. La petite chienne qui dormait sur son oreiller depuis 13 ans, disparue aussi. Le chien dressé qui avait comme mission de garder l’écurie contre les voleurs, tué aussi. Il n’avait que 2 ans.
Au lendemain de la saisie, la dame a demandé à la Bouillé pour aller voir ses chiens, pour les rassurer et les calmer. La Bouillé a fait réponse « vos chiens ne sont déjà plus à Montréal ». C’est quoi cette réponse ? En autant que je sache, au Québec, les biens saisis ne peuvent être disposés avant la fin du procès. On a vu dans les médias que la HSI était partie aux états avec 50 chiens. Etait-ce ceux du refuge ? Personne ne le sait car les chiens des deux dernières saisies ont tous été mêlés et comme ils ne parlent pas, personne ne peut dire d’où ils viennent, sauf leur propriétaire.
Elle et son avocat n’arrivent pas à comprendre ce qui s’est passé, qui a fait une plainte de cruauté et sur quelles bases. Le dossier est mal monté et surtout, c’est la corruption dont souffre le procureur de la Couronne Loranger (je n’ai aucun problème à l’écrire car j’ai des preuves de connivence) et sa connivence avec la SPCA et le Berger Blanc qui a permis d’obtenir un mandat de perquisition et la saisie de ces chiens.
Comme l’écrit Julius Grey, la corruption existe à tous les niveaux mais encore faut-il en faire la preuve pour s’en débarrasser. Les gens savent mais n’oseront pas venir témoigner car ils ont peur d’avoir peur. Comment une brave femme peut-elle se défendre si personne ne se présente pour l’aider ? Le dossier est tout croche mais il faut le démontrer au juge en espérant que Loranger n’aura pas parlé au juge avant comme il le fait souvent.
Qui dit inspecteur dit corruption. La tentation est trop forte. Que ce soit au niveau municipal ou de la SPCA, le principe est le même. Les propriétaires d’usine à chiots ont plein d’argent « cash » pour acheter la paix mais cette dame, tous ses avoirs passaient sur ses animaux. La dame qui est déclarée invalible depuis plus de 5 ans souffrant d'arthrite rhumatoide inflammatoire dégénératrice a quand même poursuivi sa mission de refuge. Mais aujourd'hui, elle a besoin d'aide, de témoignages de personnes qui en savent long sur les méthodes de saisie de la SPCA. Nous espérons qu'ils auront le courage de se montrer.
Cette saisie est tellement illogique pour ne pas dire frauduleuse, comment se fait-il que la dame qui était supposément si cruelle envers les animaux au point de lui mettre une charge, ne l’était pas pour ses chevaux qui lui ont été laissés ainsi que deux autres chiens. Mais on lui a pris la petite chienne qui vivait dans la maison et dormait dans son lit.
Non, la maison n’était pas un taudis et l’écurie non plus. Les voisins qui fréquentaient la dame sauront vous le dire. Les enfants qui allaient s’occuper des chiens ont eu le cœur brisé par toute cette affaire et ne comprennent pas. Nous non plus d’ailleurs. La dame devra maintenant se défendre non seulement devant la Cour mais devant les médias, devant le public qui oublie bien vite car sa réputation a été entachée et par le fait même le travail de toutes les protectrices des animaux.
CONCLUSION
Voilà une dame qui s’était donné comme mission de protéger les animaux et d’aider les humains. Elle vient de comprendre que ce sont les humains qui sont cruels et pas nécessairement ceux qu’on pense.
Lle matin de la saisie, elle s’en allait à Joliette pour un examen médical important et n’a pu suivre le vol de ses chiens sur sa propriété. La Bouillé a simplement répondu, sans cœur, à son frère qui devait l’y conduire « c’est çà, amenez la, ce sera mieux pour elle ». Mieux pour elle ? Ou mieux pour la Bouillé ? Elle pouvait ainsi procéder sans témoin au vol des animaux. Qui dit qu’il n’y a pas d’autres éléments de preuve qui ont aussi disparu, comme les carnets de santé des chiens, la facture de vétérinaire de $400 pour la dernière opération, etc.
Le Québec n’a pas besoin d’autres lois de protection des animaux si c’est pour s’en servir contre les protectrices des animaux. La SPCA n’est pas capable de fermer de « vraies usines à chiots », on a les preuves de çà, alors même si on demande d’autres lois, si elles sont mal appliquées, çà ne servira pas les droits des animaux à une vie meilleure.
La seule chose décente à faire maintenant par la SPCA, c’est qu’avec tout ce qu’ils ont entendu au procès à date, c’est de retirer les accusations contre cette dame et de lui remettre, avec leurs excuses, ses chiens, s’ils peuvent les retrouver bien entendu car ils en perdent souvent.
NOUS NE POUVONS SUPPORTER QU’UN ORGANISME EN QUI CERTAINES PERSONNES AVAIENT MIS LEUR CONFIANCE, FASSE DU TORT À UN REFUGE SIMPLEMENT PARCE QU’IL LEUR FAIT DE LA COMPÉTITION.
INADMISSIBLE!!!!
Autrement, c'est tout le travail de ces petits refuges qui est compromis et les animaux ne peuvent se permettre de perdre des protectrices car on vient de le voir, on ne peut pas compter sur la SPCA.
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