Pour
les Jacinthe M. et Pierre-André R. de cette province qui se pensent
bien fins parce qu'ils collaborent avec le mapaq et la hsi, je vais
vous décrire à partir de mes enquêtes comment se déroulent les
raids que ces deux organisations font présentement au Québec, tout
en prétendant sauver des chiens et des chats en péril.
Notez que
malgré leurs prétentions, AUCUNE usine à chiots n'a été fermée.
Par contre on a volé mafia style des chiens chez plusieurs éleveurs
commerciaux.
Personne
n'est à l'abri d'un raid car ça n'a rien à voir avec la protection
des animaux mais plutôt si les chiens ou les chats de race, par
exemple, sont vendables facilement. Les chiens d'usines ont besoin de
plusieurs semaines pour être remis en état avant d'être vendus et
c'est la raison pourquoi il n'y a aucune usine fermée depuis des
années; alors que les chiots d'éleveurs commerciaux sont déjà
vaccinés, propres et rapportent immédiatement comme la spa de
Sherbrooke l'a fait avec les chiots de Dudswell.
Ces
raids visent des personnes vulnérables, qui ont tout à perdre y
compris leur réputation et doivent signer illico une cession de
leurs biens (chiens). Le P-42 est conçu pour exactement exiger une
rançon si la personne ne veut pas signer. En plus on lui envoie dans
les 90 jours une liasse de contraventions bidons pour du poil sur un
griffoir, un bol renversé ou un motton dans le poil. En plus de
perdre son fonds de commerce, sa source de revenus et celle de sa
famille, la personne aura des frais exhorbitants d'avocats, des
amendes et frais vétérinaires aussi obscènes qu'inutiles.
Parce
que vous avez pensé bien faire et demandé un permis ou qu'un voisin
malveillant a donné anonymement votre adresse au mapaq, ils vous
ont à l'oeil. C'était le but visé par cette histoire de permis et
c'est confirmé par un agent de communication du mapaq que c'était juste pour avoir les adresses des personnes naives.
Puis, des
inspectrices commencent à vous visiter, à gosser, à poser des
questions, vous répondez honnêtement pensant que vous n'avez rien à
cacher. Erreur.
Au
refuge de l'OF, on en était aux visites aux 15 jours. Impossible de
savoir pourquoi, c'était une série de mensonges qui changeaient
selon la conversation (on était dans le coin, vous avez pignon sur rue, on a une plainte, du n'importe quoi). Exemple, la fois ou j'ai refusé que
l'inspectrice rentre, elle s'était fait accompagner par la police
sans savoir ce qui allait se passer. Donc, elle avait des intentions
que je n'ai pas comprises, i.e. elle s'en venait à la pêche. Mais
quand elle a parlé que j'avais des chatons malades, il était
évident qu'elle cherchait autre chose car ça faisait des mois qu'il
n'y avait pas de chaton au refuge. Sa superviseure n'était pas plus
parlable. Je me suis alors sentie justifiée de lui refuser l'entrée
pour ma propre sécurité. Mais je devrai me défendre en Cour de ce
refus.
Un
matin c'est votre tour. Le dossier est 'fabriqué' et le mandat
obtenu d'un obscur fonctionnaire derrière un comptoir qui n'a rien
regardé de la légitimité de l'affidavit à l'origine de la
demande. Puis l'inspectrice fixe une date avec ses 'partenaires' pour
aller chercher ce que vous avez de plus cher, vos animaux. S'il y a
des enfants sur place, la DPJ sera là aussi, c'est le même
principe.
Sans
avertissement (c'est toujours un asti de secret) la rue s'emplit de
véhicules devant votre porte. Trop tard, ils savent exactement ce
que vous avez, combien de transporteurs seront nécessaires et où ils
vont les envoyer : police, camions loués ou appartenant à la
spa de Sherbrooke ou la hsi, supposés bénévoles à casquettes
vertes, photographes et vétérinaires collaboratifs qui ne voient
rien et disent n'importe quoi.
Pour
les chevaux, même le Refuge Galahad collabore avec le mapaq et ne
donne plus jamais de nouvelles du cheval saisi. Autrefois Anima
Québec et la spca les envoyaient chez des éleveurs qui les
vendaient même avant que la cause soit entendue. Carole à St-Lin a
gagné sa cause contre la spca mais tous ses chiens avaient été
dispersés, donnés et vendus. Le vieux monsieur en banlieue de
Joliette se faisait vider aux 6 mois. L'inspectrice Bouillé de la
spca passait, lui disait que tout était correct et le lendemain elle
arrivait avec tout l'équipement pour le raid.
Puis
tout ce monde entre en fous dans votre propriété, sans invitation,
pendant que la police fait le guet. Imaginez 5-6 personnes énervées
qui rentrent dans votre résidence ou votre élevage en folles, se
mettent à fouiller dans vos affaires, énervent les animaux qui
courent partout, excités d'avoir de la visite ou simplement de peur
car ils sentent que quelque chose n'est pas normal. Une ou deux
prennent des photos et les flashes énervent encore plus les animaux.
Vous avez perdu contrôle, vous n'êtes plus chez vous.
La meilleure description c'est
celle de Rebecca qui a subi un raid par la OSPCA et a perdu tous ses
chiens :
On Monday, the agents/inspectors arrived with a team, a
vet, police and a warrant, and proceeded to seize every one of our
dogs. 71 total. They arrived at 8am, and kept my husband and son on
the boiling hot driveway in full sun, from then till 5:30pm. Not even
offered any water till the afternoon. Randy was so angry he would not
take it. They would not allow them to finish morning chores, provide
morning care to Angel who is paralysed, or to feed and water the
dogs. The dogs who were all panicking and barking at the intruders,
were all kept inside all day, not allowed out to urinate or defecate,
so would have had to go inside the house. Two males that had been
crated overnight, and had not yet gone outside, were not allowed out
to urinate or defecate all day. The smaller dogs were kept on the
porch, including Angel, who without her bandages for her feet, was
allowed to drag herself on wood for many hours, was the last dog
removed from there, and had worn her feet bloody, leaving blood
streaks all over the porch. They later claimed she was in such poor
condition (remember she had recently been seen by our vet) that she
needed hospitalisation. On the first visit on May 20, the inspector
had said in her opinion the dog should be euthanized. They
traumatized all the dogs,
La même chose pour les chiens du monsieur en Abitibi. On les a détachés des cabanes pour courir après dans la neige et leur passer le collet pour les mettre dans les transporteurs.
Après une évaluation
sommaire pour la forme, l'inspectrice donne le ok pour 'saisir' votre
propriété. Elle sait déjà ce qu'elle va inventer pour justifier
ses actions et vous ne reverrez
jamais vos animaux. La meilleure chose qui pourrait arriver
c'est qu'un jour, une personne à risque puisse être prévenue et
qu'un dossier puisse être monté avant le raid contre ce genre
d'expéditions malhonnêtes parce que les animaux ne seront plus sur place mais
auront pu être déplacés. Encore là il faut compter sur des
personnes fiables et dans le rescue il y en a peu.
Et c'est la course, s'il y a
des chiens en cage, on les libère tous puis on court après, c'est leur
trip. En riant comme des folles, elles brisent tout dans la maison
mais c'est pas important. Tout est renversé et les animaux capturés
au collet (voir photo) et mis dans des transporteurs.
Rebecca :
The investigators chased the dogs all over, despite my husband's
warnings that many have trust issues, and they ignored him, and his
requests to help catch the dogs, and two people were bitten.
Quant
tout est brisé, sans dessus-dessous, on prend des photos, beaucoup
de photos et on donnera ça au juge comme preuve que c'était le
bordel chez vous. Les chiens ont chié partout parce qu'ils n'ont pas été sortis pour leurs besoins avant le raid. Le juge ne saura pas que c'était fait exprès pour
vous discréditer et monter un dossier pour justifier le raid.
Peut-être que par sécurité, un matin que vous aurez fini de tout
nettoyer, de prendre des photos qui pourront être soumises au juge.
Si
on ne vous a pas expulsé comme dérangeante avec un P-38 pour vous
amener en psychiatrie à l'hopital, vous assisterez impuissant(e) à
toute cette mascarade et à l'agression de vos petits par des êtres
sans compassion et nullement intéressés au bien-être des animaux.
Pendant qu'ils sont retirés de leur milieu sans déjeuner,
manipulés avec force et sans ménagement, vous avez le coeur dans la
gorge en leur disant adieu.
Vous
n'avez aucune idée pourquoi on vous les enlève (le mandat qu'on
vous remet n'est qu'un torchon sommaire sans information), ni où ils
seront apportés car l'endroit est toujours gardé secret et si vous
pourrez les faire examiner par votre vétérinaire afin de vous
défendre contre les accusations bogus de cruauté qu'on va porter
contre vous. Souvent ils sont blessés dans ce brou-ha-ha et
passeront toute la journée sans soins, ni nourriture, ni eau, ni
ménagement, sans mentionner un stress inimaginable.
(à
suivre)
1 commentaire:
Ma recherche a démontré que chaque visite du mapaq était l'aboutissement d'une plainte d'une bénévole hypocrite et méchante qui prétendait aimer les chats
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