Le récent cas d’intervention du Berger Blanc dans Repentigny pour obliger la dame à se départir de ses animaux, nous remet dans la face, l’inutilité des règlements anti-animaux dans cette province. Nous ne parlerons pas ici du fait que les chats de cette dame n’étaient pas stérilisés et procréaient à profusion. Ce sera un autre débat.
J’ai mis la main sur un article d’un blog américain qui fait une remarque judicieuse (voir le texte du blog plus bas). Pendant que tout le monde crie, la spca en tête, qu’il y a trop d’animaux abandonnés au Québec, les règlements limitant le nombre d’animaux par logement mènent directement à la confiscation et l’euthanasie d’animaux de compagnie en santé, aimés et qui avaient un foyer permanent.
Un règlement est passé « pas plus de 2 chiens par logement » et immédiatement, le troisième chien est voué à l’euthanasie ou à l’abandon dans la rue si c’est un chat. Ou si un voisin se plaint de senteurs (ma voisine avait déjà appelé la police parce qu’elle pensait que mon tas de compost sentait l’ammoniaque) peu importe d’où elles proviennent, la personne qui a des chats sera inspectée. Notez qu’on ne protège pas les animaux ici, ON RÈGLEMENTE…..
Il faudrait revoir toute cette réglementation et la remplacer par la protection des animaux impliqués dans une controverse et surtout par de l’éducation. Ce que personne ne fait présentement.
Nous l’avons vu dans Rosemont. Parce qu’un tizoune est allé au conseil de ville se plaindre qu’il y avait trop de chats errants dans sa ruelle, le nommé Lavallée (qui n’a pas été réélu, heureusement) s’est empressé de passer un règlement interdisant de nourrir les chats. Dans sa petite tête de maire corrompu, quelqu’un lui avait dit que si on cessait de nourrir les chats, ils vont disparaître, c’était probablement le gars du Berger Blanc.
Au Québec, il n’est pas question de discuter du règlement avant qu’il soit adopté. Les élus municipaux nous le garrochent dans la face avec la fourrière par derrière. Combien de personnes doivent vivre dans la clandestinité et mentir parce qu’elles ont osé sauver des chats de ruelle.
Non, je ne suis pas tendre envers les élus, les policiers et les gars de fourrière parce que je sais jusqu’où leur corruption peut mener quand ils s’attaquent à un contribuable. Surtout si le payeur de taxes ne sait pas ou ne peut pas donner une enveloppe de temps en temps, ces trois paliers qui devraient protéger la population vont s’unir pour saisir, confisquer, déplacer et tuer les animaux de compagnie propriété du contribuable et ensuite lui envoyer une facture exhorbitante pour ce faire. C’est un système corrompu à toutes épreuves car « il s’appuie sur la loi et les règlements ». Plates excuses s’il en est mais qui donnent carte blanche à tous ces corrompus qui jouent avec l’argent des taxes.
Oui, il va falloir s’unir et manifester notre désaccord à tous et chacun de ces règlements au fur et à mesure qu’ils sont portés à notre connaissance. A commencer par Laval où les policiers et les employés municipaux perdent leur temps et l’argent du public à harceler les femmes qui nourrissent les chats et à détruire leurs cabanes.
Killing animals with homes -- KC Dog Blog www.kcdogblog.com
In animal welfare, we talk an awful lot about how we can end the problem of having homeless pets in the US. There is often talk of things like "pet overpopulation", "shelter overcrowding" and that type of thing. Even one of the largest animal welfare organizations, Best Friends, hosts the No More Homeless Pets conference.
But maybe a more disturbing trend is the seemingly growing trend toward killing HOMED pets.
These are happy, healthy pets, that have loving, caring owners -- that for various reasons, we have decided to bring into our overcrowding shelters where they will likely be killed. These are animals, that have homes, that because of laws that we've created, we have decided to make homeless.
Recently, a Dallas couple, Mark and Lynn Gideon, found themselves in trouble with the Dallas law. Three years ago, Dallas passed a law limiting the number of pets people could have in their homes. The Gideons obtained a special permit to grandfather all of their existing pets -- 7 dogs (mostly Dachshund mixes) and 10 cats. In August, an animal control officer came to their home and wrote them two citations -- one for pet waste and one for odor of pet waste (it should be noted here that all of the neighbors have denied complaining about any odor problems stemming from the house).
By all accounts, the animals were all healthy, all were altered, licensed and up to date on their vaccinations. Because the Gideon's received two citations within a 12 month time period, authorities are saying that all of their pets must be removed from their home. Seventeen animals, all with a home and all seemingly well cared for, being asked to be removed and to join the ranks of the homeless animals in Dallas.
Earlier this week, news hit about two Boxer mixes in Brampton, Ontario that were confiscated from their owners and are on death row at the Brampton Animal Shelter. The dogs are believed by city authorities to resemble 'pit bulls' -- which are banned in Ontario under the Dog Owner Liability Act. By all accounts, the dogs are healthy, happy, well-socialized, non aggressive and are loved by their owners. Both are now "homeless" and could be killed in the shelter.
In 2006, Kansas City, MO passed a law that mandated that all 'pit bulls' had to be spayed or neutered. In 2009, four years after the ordinance passed, 270 dogs were confiscated from Kansas City area homes because they were unaltered pit bulls (more to come on KCMO in the next couple of weeks). The vast majority of these dogs were by animal control officer accounts happy, healthy dogs -- but because they were unaltered, they ended up at the city shelter. More than half of these dogs ended up dead in the shelter. Again, they were happy, healthy dogs, with homes, that the city made to be homeless, and then, dead.
In the book Redemption, Nathan Winograd talks a lot about the Dark Side of Mandatory Laws, and how even though they are often pushed by members of the animal welfare community, most end up leading to increased killing in city shelters.
"Legislation may be worded so that the result of non-compliance is the impoundment and death of the animal. Many jurisdictions have seen their impound rates increase following the passage of laws which give government agencies carte blanche to round up and kill animals. If a shelter has high rates of shelter killing, it makes no sense to support the passage of laws that give them greater power and more reasons to impound--and subsequently kill -- even more animals" -- Winograd in 'Redemption'
If we are to end the problem of homeless pets in this country, it is extremely important that we not only find homes for pets in our shelters, but it is also important that we makes ever effort necessary to keep happy, healthy, non-aggressive animals that have homes IN THEIR HOMES. This means not passing arbitrary pet limit laws, not passing breed specific laws that remove pets from homes based on how they look, not based on behavior, and not pass mandatory spay/neuter laws that pull animals out of homes for not being altered so they end up in the shelter.
Ending the problem with homeless pets in this country begins with not creating homeless pets unnecessarily. It is one thing to struggle with killing homeless animals because of shelter overcrowding, it is quite another to kill ones that actually have homes, for no reason at all.
lundi 8 février 2010
vendredi 5 février 2010
Folle des chats !
Folles des chats ? ERREUR !!!
Compatissantes, passionnées, aimantes des animaux, OUI. C’est d’ailleurs pour ça qu’elles ne peuvent supporter de les voir souffrir l’hiver et essaient de les sauver.
Le documentaire que notre télé québécoise a présenté dimanche passé vient jeter un pavé dans la mare du sauvetage des chats errants dans Montréal et la région. Non seulement un représentant de l’organisme de qui origine le documentaire laisse sous-entendre que les chats sont bien dehors et vivent plus vieux qu’à l’intérieur, ce qui est faux, mais il condamne les sauveteuses qui les gardent dans leur domicile en attendant de leur trouver une famille d’adoption. Inacceptable!!!
Selon moi, ce documentaire a été fait par la spca de Toronto pour dénoncer les femmes qui gardent plusieurs chats en les faisant passer pour dérangées et malpropres. Le but du documentaire n’est pas clair et le rôle des femmes qui ont participé au tournage me laisse songeuse. Pourquoi s’exposer ainsi à la critique évidente de la spca et des téléspectateurs? Beaucoup de femmes et d’hommes ont plusieurs chats et les aiment profondément sans pour autant être dérangés et ne pas avoir de conjoint.
Vous croyez que les spcas sont là pour aider ces femmes et leurs chats ? Détrompez-vous. Je pourrais vous en dire long là-dessus. Surtout quand leurs inspecteurs peuvent arriver à l’aube chez une personne qui a plusieurs chats en espérant y trouver des saletés et des odeurs avant qu’elle ait eu le temps de nettoyer. S’ils y trouvent un chat malade ou même mort durant la nuit, c’est l’extase. Quelles belles photos!
La spca n’est pas là pour aider les sauveteuses ni les chats. Les jobs à la spca sont rémunérées et surtout bien rémunérées. C’est l’argent des animaux qui paie le salaire des inspecteurs pour aller harceler les sauveteuses. Ou bien ils sont foncièrement méchants ou bien ils essaient de justifier leur job. Toutefois, ils sont sélectifs, ils n’iront pas harceler les hommes qui possèdent des usines à chiots.
C’est la raison pourquoi le seul homme interviewé dans le documentaire, avec son uniforme, ses écussons et le mot « agent » écrit en gros sur la poitrine, dit avec autorité qu’il serait mieux de tuer les chats que de les garder en refuge ou famille d’accueil. C’est ce qu’il sait faire parce qu’il y a été entraîné. Moi, je ne suis pas sure que c’est ce que le chat préfère.
Mais il faut que je vous dise ici, les inspecteurs et les « agents » de la spca ont une culture un peu différente de nous. D’abord, ils n’aiment pas les animaux et ça paraît. Ils se sentent très forts quand ils entrent chez une femme qui a plusieurs chats avant qu’elle ait eu le temps de nettoyer les dégâts de la nuit pour prendre des photos et « interpréter » chaque meuble déplacé et chaque litière pas vidée. Ils pourront alors faire accuser la pauvre dame de cruauté envers les animaux et la traiter de collectionneuse et surtout, tuer tous ses chats. Tout son argent passe pour aider les chats alors elle n’aura pas de sous pour se défendre et on lui fera subir les pires traitements. Elle n’aura pas un bel habit Armani pour se présenter à la cour. Comme tout est question d’images et de perceptions, un juge sera toujours du côté de la spca.
Quand on sait qu’avec tout leur personnel, les bénévoles et le vétérinaire attitré, la spca de Montréal ne peut même pas prévenir une épidémie de rhino et tue tous les chatons sur place et ceux qui rentrent, les inspecteurs n’ont pas de leçon à faire à cette dame qui les aime et voit à leur bien-être avec les moyens du bord. Sans oublier que pour les faire vivre en groupe, elle a dû payer de sa poche toutes les stérilisations. Ce qui ne se fait pas à la spca. Du temps de Barnotti, les chats partaient non stérilisés, sous la seule promesse de l’adoptant.
Le but principal des spcas (au départ je pensais qu’il y avait seulement Barnotti mais aujourd’hui j’ajoute celle qui se colle sur la spca) c’est de détruire la réputation de toutes ces secouristes qui font un travail magnifique dans cette province. C’est de les salir, rabaisser leurs sauvetages, copier leurs idées pour nuire aux activités de levées de fonds et même de s’approprier leur porte-parole. De plus, aussi bien les fourrières que les spcas, s’ils ont la chance d’avoir une plainte d’odeurs d’un voisin qui se mêle pas de ses affaires, y a rien qu’ils ne feront pas comme troubles à la dame qui nourrit les chats.
Le documentaire que nous venons de voir joue exactement ce rôle. Car les filles qui ont ces chats les ont ramassés dans la rue, les ont soignés, fait stériliser et amenés en sécurité à l’intérieur, la plupart en attendant une adoption. Vous savez comme moi combien il est difficile de faire adopter un chat adulte.
Il est faux de croire que les chats sauvages (feral) ne peuvent pas vivre dans une famille comme le laisse entendre l’agent. Plein d’exemples nous viennent à l’esprit de chats abandonnés qui craignaient les humains et qui sont maintenant parfaitement adaptés et heureux.
Toutefois, ce n’est pas sûr qu’ils aimeraient tous vivre en refuge surtout ceux de deux ou trois générations nés dans la rue. C’est la raison pourquoi j’approuve les méthodes de Alley Cat Allies sur les colonies de chats. Une fois stérilisés, bien installés et nourris, les chats sauvages peuvent vivre leur vie de chats sans l’intervention de la spca ou de la fourrière qui ne pensent qu’à les éliminer.
Commentaire judicieux de Lise : ce ne sont pas ces femmes qui devraient être jugées, elles devraient être aidées dans leurs tâches. Ce sont ceux qui abandonnent les chats qui sont coupables mais encore là, l’organisme, ne partira jamais après ceux-là et les punir pour mettre un animal en péril. Pourtant le Code criminel dit bien qu’il s’agit là d’un acte criminel.
Commentaire de Ginette : j'ai regardé le video, c’est faux ce qu'il dit les chats errants peuvent être socialisés ,j'en ai ramassé beaucoup dans ma vie et j'ai toujours fini par gagner leurs coeurs . Ils ont besoin d'avoir confiance et de bons soins voilà .........
Commentaire de Jessica : Personellement, j’ai éteint la télé au bout de 15 min environ. J'ai trouvé qu'il exagérait bcp et généralisait, je prends mes chats pour mes bébés mais c pas pour autant que je suis super solitaire a tel point de ne pas avoir de conjoint. J'ai aussi trouvé ça dommage qu'il montre un vieille dame qui avait plein de chats errants dans sa maison, je trouvais que ça avait l'air pas très propre si on veut, or, ce n'est pas le cas partout.... Folle oui c vraiment le nom pour qui ils veulent nous faire passer :-@, par contre je trouvais ça triste pour les chats qui sont errants, ça me fait bcp de peine à chaque fois que j'en vois
CONCLUSION :
Depuis 40 ans je dénonce les agissements de la spca de Montréal mais mes lectures m’ont amenée à comprendre que c’est une culture qui existe dans toutes les sociétés humanitaires et qui aurait besoin d’un grand changement pour d’abord aider les animaux et aussi justifier l’existence de ces organismes qui râclent toutes les donations sans faire le travail d’aide et de sauvetage des animaux.
Le seul espoir qu’ont les animaux errants c’est le regroupement de tous les secouristes afin de créer une force et participer à l’éducation de la prochaine génération d’humains pour qu’ils n’abandonnent pas leur chat.
Compatissantes, passionnées, aimantes des animaux, OUI. C’est d’ailleurs pour ça qu’elles ne peuvent supporter de les voir souffrir l’hiver et essaient de les sauver.
Le documentaire que notre télé québécoise a présenté dimanche passé vient jeter un pavé dans la mare du sauvetage des chats errants dans Montréal et la région. Non seulement un représentant de l’organisme de qui origine le documentaire laisse sous-entendre que les chats sont bien dehors et vivent plus vieux qu’à l’intérieur, ce qui est faux, mais il condamne les sauveteuses qui les gardent dans leur domicile en attendant de leur trouver une famille d’adoption. Inacceptable!!!
Selon moi, ce documentaire a été fait par la spca de Toronto pour dénoncer les femmes qui gardent plusieurs chats en les faisant passer pour dérangées et malpropres. Le but du documentaire n’est pas clair et le rôle des femmes qui ont participé au tournage me laisse songeuse. Pourquoi s’exposer ainsi à la critique évidente de la spca et des téléspectateurs? Beaucoup de femmes et d’hommes ont plusieurs chats et les aiment profondément sans pour autant être dérangés et ne pas avoir de conjoint.
Vous croyez que les spcas sont là pour aider ces femmes et leurs chats ? Détrompez-vous. Je pourrais vous en dire long là-dessus. Surtout quand leurs inspecteurs peuvent arriver à l’aube chez une personne qui a plusieurs chats en espérant y trouver des saletés et des odeurs avant qu’elle ait eu le temps de nettoyer. S’ils y trouvent un chat malade ou même mort durant la nuit, c’est l’extase. Quelles belles photos!
La spca n’est pas là pour aider les sauveteuses ni les chats. Les jobs à la spca sont rémunérées et surtout bien rémunérées. C’est l’argent des animaux qui paie le salaire des inspecteurs pour aller harceler les sauveteuses. Ou bien ils sont foncièrement méchants ou bien ils essaient de justifier leur job. Toutefois, ils sont sélectifs, ils n’iront pas harceler les hommes qui possèdent des usines à chiots.
C’est la raison pourquoi le seul homme interviewé dans le documentaire, avec son uniforme, ses écussons et le mot « agent » écrit en gros sur la poitrine, dit avec autorité qu’il serait mieux de tuer les chats que de les garder en refuge ou famille d’accueil. C’est ce qu’il sait faire parce qu’il y a été entraîné. Moi, je ne suis pas sure que c’est ce que le chat préfère.
Mais il faut que je vous dise ici, les inspecteurs et les « agents » de la spca ont une culture un peu différente de nous. D’abord, ils n’aiment pas les animaux et ça paraît. Ils se sentent très forts quand ils entrent chez une femme qui a plusieurs chats avant qu’elle ait eu le temps de nettoyer les dégâts de la nuit pour prendre des photos et « interpréter » chaque meuble déplacé et chaque litière pas vidée. Ils pourront alors faire accuser la pauvre dame de cruauté envers les animaux et la traiter de collectionneuse et surtout, tuer tous ses chats. Tout son argent passe pour aider les chats alors elle n’aura pas de sous pour se défendre et on lui fera subir les pires traitements. Elle n’aura pas un bel habit Armani pour se présenter à la cour. Comme tout est question d’images et de perceptions, un juge sera toujours du côté de la spca.
Quand on sait qu’avec tout leur personnel, les bénévoles et le vétérinaire attitré, la spca de Montréal ne peut même pas prévenir une épidémie de rhino et tue tous les chatons sur place et ceux qui rentrent, les inspecteurs n’ont pas de leçon à faire à cette dame qui les aime et voit à leur bien-être avec les moyens du bord. Sans oublier que pour les faire vivre en groupe, elle a dû payer de sa poche toutes les stérilisations. Ce qui ne se fait pas à la spca. Du temps de Barnotti, les chats partaient non stérilisés, sous la seule promesse de l’adoptant.
Le but principal des spcas (au départ je pensais qu’il y avait seulement Barnotti mais aujourd’hui j’ajoute celle qui se colle sur la spca) c’est de détruire la réputation de toutes ces secouristes qui font un travail magnifique dans cette province. C’est de les salir, rabaisser leurs sauvetages, copier leurs idées pour nuire aux activités de levées de fonds et même de s’approprier leur porte-parole. De plus, aussi bien les fourrières que les spcas, s’ils ont la chance d’avoir une plainte d’odeurs d’un voisin qui se mêle pas de ses affaires, y a rien qu’ils ne feront pas comme troubles à la dame qui nourrit les chats.
Le documentaire que nous venons de voir joue exactement ce rôle. Car les filles qui ont ces chats les ont ramassés dans la rue, les ont soignés, fait stériliser et amenés en sécurité à l’intérieur, la plupart en attendant une adoption. Vous savez comme moi combien il est difficile de faire adopter un chat adulte.
Il est faux de croire que les chats sauvages (feral) ne peuvent pas vivre dans une famille comme le laisse entendre l’agent. Plein d’exemples nous viennent à l’esprit de chats abandonnés qui craignaient les humains et qui sont maintenant parfaitement adaptés et heureux.
Toutefois, ce n’est pas sûr qu’ils aimeraient tous vivre en refuge surtout ceux de deux ou trois générations nés dans la rue. C’est la raison pourquoi j’approuve les méthodes de Alley Cat Allies sur les colonies de chats. Une fois stérilisés, bien installés et nourris, les chats sauvages peuvent vivre leur vie de chats sans l’intervention de la spca ou de la fourrière qui ne pensent qu’à les éliminer.
Commentaire judicieux de Lise : ce ne sont pas ces femmes qui devraient être jugées, elles devraient être aidées dans leurs tâches. Ce sont ceux qui abandonnent les chats qui sont coupables mais encore là, l’organisme, ne partira jamais après ceux-là et les punir pour mettre un animal en péril. Pourtant le Code criminel dit bien qu’il s’agit là d’un acte criminel.
Commentaire de Ginette : j'ai regardé le video, c’est faux ce qu'il dit les chats errants peuvent être socialisés ,j'en ai ramassé beaucoup dans ma vie et j'ai toujours fini par gagner leurs coeurs . Ils ont besoin d'avoir confiance et de bons soins voilà .........
Commentaire de Jessica : Personellement, j’ai éteint la télé au bout de 15 min environ. J'ai trouvé qu'il exagérait bcp et généralisait, je prends mes chats pour mes bébés mais c pas pour autant que je suis super solitaire a tel point de ne pas avoir de conjoint. J'ai aussi trouvé ça dommage qu'il montre un vieille dame qui avait plein de chats errants dans sa maison, je trouvais que ça avait l'air pas très propre si on veut, or, ce n'est pas le cas partout.... Folle oui c vraiment le nom pour qui ils veulent nous faire passer :-@, par contre je trouvais ça triste pour les chats qui sont errants, ça me fait bcp de peine à chaque fois que j'en vois
CONCLUSION :
Depuis 40 ans je dénonce les agissements de la spca de Montréal mais mes lectures m’ont amenée à comprendre que c’est une culture qui existe dans toutes les sociétés humanitaires et qui aurait besoin d’un grand changement pour d’abord aider les animaux et aussi justifier l’existence de ces organismes qui râclent toutes les donations sans faire le travail d’aide et de sauvetage des animaux.
Le seul espoir qu’ont les animaux errants c’est le regroupement de tous les secouristes afin de créer une force et participer à l’éducation de la prochaine génération d’humains pour qu’ils n’abandonnent pas leur chat.
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