samedi 12 août 2017

Des fourrières et de leur cruauté

Un autre texte original de Geena à partager sans modération

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Kozaczyñski Geena Il faut que ća change, c'est certain. Ća fait 3 ans que je surveille de près les activités des plus grandes fourrières et d'autres de plus petites municipalités, et c'est partout pareil. 
Ce sont vraiment... de:


- 1. les abandons volontaires

- 2. l'absence de programme TNR

- 3. l'ignorance des citoyens

- 4. leur intolérance du chat errant

- 5. le fait qu'un "retour à la maison" rapporte $10 à $25 et "l'euthanasie" +ou-$125/chat tué, au serv.an. (fourrière)

- 6. jamais aucun budget ne fût obtenu pour éduquer le peuple dès l'école primaire et organiser des campagnes de sensibilisation partout au Qc

- 7. la malhonnêteté d'une majeure partie des services animaliers (fourrières) au Qc. Ceux qui prétendent être sans euthanasie, et ceux qui se font appeler "Refuge(?!)"... mais c't'un endroit de mort et un trafiquant de cobayes

- 8. la légalité d'utiliser des mammifères comme cobayes pour faire de la recherche

... les principaux facteurs de toutes ces souffrances et ces meurtres d'animaux en santé qui ne demandaient qu'un peu d'croquettes et qu'un peu d'amour.

😢😢😢

Je suis au courant du trafic d'animaux domestiques volés et vendus aux labos depuis près d'une dizaine d'années. 

Ma mère fut témoin d'un homme en panel avec espace grillagé qui a ralenti devant la maison et ce qu'elle ne voyait pas, c'est qu'il est venu chercher Maya, sa chatte stérilisée qu'elle avait depuis 5ans (adopté chaton), sur sa galerie. Ma mère sortit pour voir ce qui se passait... trop tard, l'homme est vite reparti, elle n'a plus jamais revu Maya malgré ses pubs et ses affiches. À St-Camille-de-Lelis, 700 habitants. Tout le monde se connait, personne n'a revu Maya. Elle s'appelait Maya car elle lui avait donné le même nom qu'une chatte Hymalayene que j'avais à l'époque. 

Quelques temps plus tard, j'étais tjr positive et j'avais dit à ma mère que je m'occuperais des recherches de mon bord puisque les siennes n'avaient rien données. Plus j'approfondissais mon enquête, plus l'évidence devenait incontournable. Je n'ai jamais eu le courage de glisser un seul mot de tout ća à ma mère, et je ne lui ai plus jamais reparlé de Maya. Ma mère trop fragile et aucun mot n'existe pour expliquer ća.

Maya, 5ans, stérilisée, une victime parmi tant d'autres des trafiquants d'animaux domestiques pour des recherches médicales en laboratoire:

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