jeudi 15 novembre 2012
Massacre de chats à Charlemagne
Or, le crétin dans le bloc a décidé de se venger contre l'infirmière qui nourrissait la colonie de chats dans la cour et a porté une plainte à la ville. Voici le message que j'avais dans ma boite ce matin:
BB est passé avertis le monde qu'ils ont pas le droit de nourrir les chats. Lyne l'infirmière qui les nourrissait a eu 300$ d'amendes. il lui ont retire 8 chats qu'elle avait chez elle pour les euthanasier. Lyne pleurait tellement qu'on l'entendait crier et pleurer dehors. bb a mis un espion ici et des qu'elle reessait de nourrir les chats iui tape une nouvelle amende les chats ne seront plus nourris. la cabane derrière va etre retire et les chats et chatons mourront. Un peu plus loin une vieille dame avais fais aussi une cabane pour ceux qui allaient dans sa cour elle les nourrisait. La elle n'a plus le droit non plus. Faudrait tenter de demenager les chats pour les apporter ailleurs ou il pourrait etre nourris. Les trapper. maudit berger blanc il va tuer tout les chats ;
Il y a trois ans j'ai tenté de trapper au moins les femelles enceintes mais finalement j'ai dû abandonner car personne n'avait le temps de venir avec moi récupérer les trappes. Comme je n'ai pas de voiture c'était un peu loin. Donc la gang de chats se sont multipliés, plusieurs sont morts de maladie, ce qui arrive fréquemment dans une colonie non gérée.
Mais pour qui se prennent-ils les élus et le BB ? Leurs actions d'hier vont carrément à l'encontre du Code criminel. Le règlement (je suppose qu'ils en ont un) interdisant de nourrir les chats errants va aussi directement à l'encontre du Code criminel qui interdit de laisser souffrir inutilement un animal.
Mais le pire c'est que personne n'a allumé à la ville ou à la police quand le crétin qui a tué le chaton a porté plainte contre la dame qui nourrissait les chats en présumant que c'était elle qui avait porté plainte à la police. Or, c'était pas vrai. C'est un témoin qui passait sur la rue et qui l'a vu faire et décidé de porter plainte.
Alors les crétins de la ville avec l'aide des employés psychopathes du BB ont détruit la vie de cette dame qui passait son temps et son argent à aider ces petites créatures en allégeant leurs souffrances. J'avais été dans son appartement et c'était super propre. Donc c'était une revanche pure et simple. Les chats qu'elle avait chez elle étaient sa propriété. On l'a carrément volée de son bien car un animal est encore considéré comme un bien. Mais qui va porter plainte contre ces crétins ? C'est une femme brisée, avec un appartement vide. On a détruit sa vie et enlevé sa famille.
Cette rue est pleine de chats errants à cause des blocs appartements et des morons qui abandonnent leur chat en déménageant. Mais ceux-là qui font la vraie cruauté ne sont jamais importunés. Que va-t-il arriver maintenant avec l'hiver à nos portes ? Les élus ne comprennent pas le principe que ce n'est pas parce qu'on cesse de les nourrir que les chats errants vont disparaître. Ils vont simplement souffrir davantage.
Maintenant je sais, vous allez caler votre tuque et rentrer dans vos terres en lisant ceci, en espérant que ce ne sera pas votre tour. Ben j'ai des petites nouvelles pour vous autres. Cessez de réclamer plus de lois, elles ne sont pas pour la protection des chats mais simplement pour donner plus de pouvoirs aux villes pour les massacrer. Je l'ai dit et le répète, les élus ne comprennent rien à la gestion des chats et ne veulent pas en savoir plus. On les traite comme des vidanges et les contrats sont donnés de la même façon. Le BB va vous donner comme réponse: " on ne fait qu'appliquer le règlement, on avait une plainte".
Les inspecteurs des villes font des trip de pouvoirs en entrant partout chez les citoyens, n'ont aucun respect pour personne. Non ce n'est pas une tâche ingrate, c'est une job faite pour leur tempérament de voyeurs et de contrôleurs de la population.
Il va falloir que vous compreniez une fois pour toutes qu'on ne peut pas fournir à ramasser tous les chats car les $$$ ne sont pas là et la volonté politique non plus. La seule solution c'est de créer des colonies et de bien les gérer. Pour ça il faut l'appui des bureaucrates de votre ville. Ben à matin, c'est le temps, fessez dans le tas pour qu'enfin les règlements municipaux changent. Quand le BB n'aura plus d'ouvrage on ne lui donnera plus de contrats mirobolants.
Il faut dénoncer le scandale, on passe pour des crétins aux yeux du monde. Tout le Canada est au courant qu'au Québec c'est spécial. Ben c'est spécial à cause de notre inertie, de notre paresse inellectuelle. Je n'en ai plus pour longtemps et ne verrai pas les vrais changements arriver ici mais si on se prend pas en main, y en aura pas de changements et je suis tannée de marcher sur le trottoir devant l'hotel de ville pour dénoncer le BB. Il faut travailler autrement.
mardi 30 octobre 2012
Il faut sortir les animaux de compagnie de la juridiction du MAPAQ
A la lecture de l'article suivant, on comprend que tout le monde s'en fout et que les inspecteurs du MAPAQ trouvent plus facile d'harceler les petits refuges d'animaux de compagnie que de s'attaquer au traffic d'animaux dans les abattoirs et les encans, mettant en danger la sécurité alimentaire du Québec. C'est dans ces moments-là que je suis contente de ne pas manger de viande.
Pour ce qui est de l'abattoir halal, si jamais il y avait contamination, ce sont les musulmans qui vont écoper. S'ils ne connaissent pas mieux, c'est pas moi qui va les aider à faire leurs cruautés dans l'abattage.
http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201210/26/01-4587288-un-abattoir-halal-de-kahnawake-echappe-a-toute-surveillance.php
Publié le 26 octobre 2012 à 07h59
Mis à jour le 26 octobre 2012 à 07h59
Un abattoir halal de Kahnawake échappe à toute surveillance
Sur la Old Chateauguay Road, en plein coeur du territoire mohawk, de petites pancartes de bois annoncent l'abattoir Rice's Livestock.
Photo Bernard Brault, La Presse
Audrey Desrochers et Étienne Dupuis, collaboration spéciale
La Presse
Un abattoir de viande halal non agréé, situé dans la réserve amérindienne de Kahnawake, soulève des questions de salubrité.
Sur la Old Chateauguay Road, en plein coeur du territoire mohawk, de petites pancartes de bois annoncent l'abattoir Rice's Livestock. À l'intérieur de l'enceinte clôturée, tout près d'une cabine de toilettes chimiques, de vieux pneus jonchent le sol. Lors d'une visite récente, une vache morte, attachée aux quatre pattes et envahie par les mouches, trônait au centre d'une pièce sombre du bâtiment défraîchi.
Le propriétaire de l'abattoir, Thelbert Rice, explique qu'une vingtaine de consommateurs montréalais achètent sa viande halal chaque semaine. Les rites entourant ce genre d'abattage ne semblent pas toujours respectés. L'animal doit être en parfaite santé et être tué dans des conditions sanitaires irréprochables pour que sa viande soit considérée comme halal.
Le propriétaire ne s'inquiète toutefois pas de la qualité de la viande. «Il n'y a personne de mort, se défend-il. J'ai des enfants, j'ai une conscience, quand même!»
Questionné sur la fréquence des inspections de son entreprise, M. Rice affirme avoir la certification de l'Environmental Health Services, un organisme de Kahnawake. Sur un mur de l'abattoir, La Presse a d'ailleurs pu apercevoir un certificat d'inspection datant de 2006. «Je ne me souviens plus de la dernière inspection», avoue le propriétaire. L'organisme mohawk a néanmoins confirmé qu'il y fait des vérifications une fois par année. «Nous regardons les couteaux, les savons», a simplement dit l'inspecteur Mark Horne.
Tout abattoir sur le territoire québécois, y compris dans les réserves autochtones, se doit pourtant d'être agréé par le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) ou l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA). Dans un cas comme dans l'autre, les entreprises d'abattage doivent se soumettre à des inspections régulières. Vérification faite, Rice's Livestock n'est inscrit ni au fédéral ni au provincial. «Si la viande est vendue en dehors du territoire mohawk, c'est illégal de ne pas être agréé», assure Caroline Fraser, relationniste du MAPAQ.
Tombé entre deux chaises
Ni l'ACIA ni le MAPAQ n'étaient au courant de l'existence des installations de Kahnawake. Les sanctions prévues par l'ACIA pour les cas d'insalubrité sont sévères, mais elles ne s'appliquent qu'aux établissements agréés, selon l'agent de communication Guy Gravelle. Il laisse donc la responsabilité entre les mains de la province.
Au MAPAQ, des amendes de 5000$ à 15 000$ peuvent être données pour la première infraction. «Ça peut atteindre 45 000$ en cas de récidive», précise Caroline Fraser. Encore une fois, ces dispositions ne concernent que les abattoirs déjà agréés. «Dans le cas de Rice's Livestock, comme il est en territoire autochtone, les sanctions ne relèvent pas de notre compétence», expose-t-elle avant de renvoyer la balle dans le camp du fédéral.
Service au volant
Marc, producteur bovin de la Montérégie qui a demandé à taire son nom, a eu l'occasion de visiter l'abattoir. Il dit avoir été surpris par l'insalubrité des installations. «La viande est plus ou moins comestible, c'est certain!» lance-t-il. Il y vend tout de même ses vaches malades. «Au printemps passé, j'ai vendu une grosse vache qui faisait de la fièvre, a-t-il admis. Je fais 300$ cash en la vendant là-bas.»
Bien qu'il croie que des vaches saines sont aussi transportées à Kahnawake, il précise qu'il y a un «bon lot de vaches qui sont malades».
Selon lui, les animaux sont conduits jusqu'à la réserve par un transporteur de bétail après avoir transité par l'encan de Saint-Hyacinthe. «Là-bas, tout le monde se connaît. Quand quelqu'un a une vache à problème, il peut la passer de camion à camion au lieu de la débarquer à l'encan», explique Marc. Certains animaux malades sont ainsi vendus avant l'encan officiel.
Le directeur général de l'encan de Saint-Hyacinthe, Mario Maciocia, est bien au fait de ce commerce de stationnement. Il reconnaît que «les transporteurs et les producteurs se donnent parfois rendez-vous avant la vente aux enchères pour échanger des bêtes».
Thelbert Rice nie pour sa part que des animaux malades se retrouvent dans son abattoir. «Les gens qui se plaignent sont seulement jaloux parce que je suis indien et que je fais de l'argent sans vendre des cigarettes», se défend-il.
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En ce jour de l'Aïd, où les familles musulmanes sacrifient un animal en souvenir de la soumission d'Abraham à Dieu, voici quelques statistiques sur l'abattage rituel religieux au Québec.
1. Abattoirs sous juridiction fédérale, qui peuvent vendre leur viande partout au Canada et à l'étranger.
Parmi les 10 abattoirs québécois de bovins et de veaux sous juridiction fédérale:
9 font l'abattage rituel halal
- 6 font l'abattage rituel casher
Parmi les 14 abattoirs québécois de volaille sous juridiction fédérale:
- 6 font l'abattage rituel halal
- 1 fait l'abattage rituel casher
2. Abattoirs sous juridiction provinciale, qui peuvent vendre leur viande au Québec seulement.
- 20% des abattages de viande rouge respectent un rituel religieux. La grande majorité sont des abattages halal.
- 1% des abattages de volaille respectent un rituel religieux.
Sources : Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) et Dr Thérèse Loubier, coordonnatrice des activités d'inspection du secteur des viandes au MAPAQ.
-Marie Allard
dimanche 19 août 2012
Ces vétérinaires qui ne sont pas là par amour des animaux!
Et c'est sans compter ma propre chienne il y a deux ans qui m'est morte dans les bras finalement. Après $250 et des radiographies, aucun diagnostic. Pour moi il était évident qu'elle était à l'article de la mort quand elle est revenue de sa famille d'accueil et ça n'avait rien à voir de la façon dont ma chum l'avait traitée.
Le gros problème c'est que les vets ne savent plus poser de diagnostics. Ils s'en vont avec ce qu'on leur rapporte du comportement de l'animal et bifurquent tout de suite vers une radiographie et une prise de sang qui ne mènent souvent à rien de conclusif. Ils nous retournent à la maison avec une grosse facture, surtout s'ils l'ont gardé sous observation mais aucun diagnostic précis.
Le dernier cas en lice c'est ce contact qui m'appelle parce que sa chienne vomit et pisse le sang. Elle me demande si j'ai un bon vétérinaire à lui suggérer mais comme on n'a que nos vets pour les stérilisations, je ne peux l'aider. Alors elle se rend dans une clinique qu'elle connait:
Ma chienne qui pissait le sang l'autre jour m'a coûté 1021.00$ pour 2 jours et ils n'ont même pas été capables de me dire ce qu'elle avait eu malgré les prises de sang, les radios et le test du Parvo que je lui ai fait passer 2 fois et payer 2 fois. Anyway quand je suis allée la chercher pour empirer les choses ils m'ont demandé de sortir par en arrière avec la chienne car vu qu'ils ne savent pas ce qu'elle a eu ...au cas où ça serait contagieux!!! Quoi moi j'ai juste un refuge chez nous... pis je venais juste de leur donner $1000. Maudit vétérinaire de marde!!! Anyway je lui ai dit ma façon de penser au vétérinaire, comment ils nous en font manger de la merde nous qui n'arrêtons pas de fouiller dans nos poches pour aider les animaux et eux les criss de vétérianires qui supposément ont choisi leur métier parce qu'ils aimaient les animaux ils font fuck all pour nous aider à continuer de pouvoir en sauver d'autres car ils nous saignent ben raide avec leurs factures de fous et cela même si ils savent qu'on a un refuge. Je lui ai dit que je les comparais à un garagiste qui check notre voiture et qui supposément trouve un problème majeur et qui est dangereux de continuer à rouler comme ça et qu'il nous sort un estimé qui coute une fortune ben on n'a pas ben le choix de faire faire la réparation et là on paye et on sent qu'on se fait fourrer mais si on ne s'y connait pas en mécanique et bien on ne peut le prouver donc on se fie à lui et on paye, je lui ai dit que je me sentais exactement comme ça anyway ma chère j'en aurais encore long à te raconter. Et on ne parle pas ici d'un super hopital vétérinaire mais d'une clinique de quartier. Si vous avez le goût d'ajouter votre histoire, laissez nous un commentaire. Mais définitivement qu'il va falloir dénoncer cette situation car on se fait avoir à tout coup et à tous coûts. C'est une forme d'extorsion.
mercredi 15 août 2012
Jusqu'où va la cruauté !
Les bureaucrates et les élus n'ont pas cherché loin pour trouver une alternative aux fourrières cruelles suite au scandale du Berger Blanc. La seule réponse qu'on a eue c'était "il n'y a personne d'autre qui soumissionne".
Evidemment, avec les clauses inscrites dans le cahier de charge, y a pas un OSBL en mesure de faire un dépôt de $50,000 (sauf la spca, peut-être) pour s'assurer que son offre de services sera prise en considération.
Pourtant, ce n'est pas un mystère de gérer une fourrière et de s'assurer que les animaux trouvés sont remis à leurs propriétaires (ce que les fourrières ne font pas). Je l'avais dit au maire de Laval: donnez moi une bonne directrice générale et des $$$ et je vous donne une fourrière opérationnelle en-dedans de deux mois.
Comme par hasard, il a préféré le club privé, Johanne Tassé et Liza Frulla. Ça coûte plus cher, c'est pas efficace mais tellement valorisant de cotoyer les vedettes dans les médias.
Alors ma question est: avec ce qu'on sait de la cruauté des fourrières envers les animaux, du non-respect de leurs contrats, de la collusion entre les propriétaires de fourrières et le soupçon des enveloppes qui circulent pour revenir vers les élus et les bureaucrates, est-ce qu'on pourrait pas justement accuser tout ce beau monde de cruauté en vertu du Code criminel ?
L'article 446 dit: "Nul ne peut faire souffrir inutilement un animal".
Priver un animal perdu de son foyer en le revendant dans une usine à chiots, au point de vue psychologique et physique est le premier exemple qui pourrait être utilisé pour ce genre de plainte.
Mais à qui faire la plainte ? Le commandant Bertrand Taillefer du SPVM nous a répondu, quand on a voulu déposer une plainte contre le BB l'an passé: "mon contentieux me dit de ne pas toucher à ça".
Qui protège qui ? Qui protège ses $$$ de ristourne ? Ça reste à prouver. Plusieurs ont la réponse mais personne ne parle et ce sont les animaux qui en souffrent.
dimanche 6 mai 2012
La technologie n'aide pas vraiment
Donc pour quelques semaines encore, je devrai me priver d'écrire quand j'ai quelques minutes même si j'ai plein de bons sujets à traiter sur l'état de la situation au Québec
Toutes mes excuses.
samedi 17 mars 2012
La police de Laval et la protection animale
Notre dernière tentative cette semaine de porter une plainte pour un cas de maltraitance nous a valu comme réponse « appelez le Berger Blanc ».
Or, si vous vous souvenez, il y a un an, un scandale a éclaté justement sur des cas de maltraitance dans cette fourrière mais les élus se sont fermé les yeux et ont continué à donner des $$$ à cette compagnie malgré les révélations sur leurs agissements.
Plusieurs activistes se sont essayé de porter une plainte contre cette fourrière sans succès. Les policiers ne veulent pas remplir de rapport et faire enquête. Qui protège qui ???
A Laval, c’est $20 000 par mois qui sont expédiés à ce fournisseur qui ne donne aucun service en échange. Qu’est-ce que ça envoie comme message aux autres fourrières qui travaillent sur le même principe de cruauté ?
L’argent à faire sur le dos des animaux s’élève à des sommes faramineuses et les crétins le savent. Les usines à chiots opèrent en toute impunité et les fourrières se ramassent des contrats lucratifs donnés par des élus qui ne savent même pas c’est quoi la cruauté animale.
Une enquêteure « haut placée » du service de police m’a répondu quand j’ai voulu faire une plainte contre une animalerie qui avait mis la clé dans la porte en laissant les animaux sans soins à l’intérieur « on a reçu instructions d’en haut de référer ça au Berger blanc ».
Comment une compagnie qui ne fait pas de protection peut s’occuper d’une plainte de maltraitance, dites-moi ?
Pendant ce temps, sur le boulevard St-Elzéar, l’usine à chiots continue sa production sans être importunée par la ville ou l’inspecteur de la spca que le propriétaire connaît bien. On n’a pas de leçon à faire au Québec à qui que ce soit.
Et surtout ne venez pas me dire que c’est l’éducation qui manque dans la population. L’éducation qui manque sur la cruauté animale, c’est au niveau des dirigeants et des politiciens.
dimanche 12 février 2012
Un règlement anti-chats
lundi 23 janvier 2012
La folle de l'Auberge Zen
Au départ, c'est quelqu'un qui est allé me salir à l'hotel-de-ville de Laval, la fonctionnaire, toute heureuse d'avoir de l'info, s'est dépêchée d'aller la vomir dans l'oreille de la journaliste du Courrier Laval.
Je dois souligner l'honnêteté de la journaliste qui m'en a fait part et qui m'a proposé un reportage dans le Courrier sur les "rescues". Voici d'ailleurs, ce sur quoi on devait travailler:
Pour faire suite à notre (long) entretien téléphonique du 2 décembre et mon intention de faire un reportage sur les conditions de travail des «rescues» pour chats et chiens, j'ai relayé le dossier à ma collègue, Camille Gaïor.
Il serait utile qu'elle puisse parler à des bénévoles qui oeuvrent sur le territoire lavallois. Les éléments qui nous intéressent: les conditions générales d'intervention, le profil des animaux récupérés, leur état de santé, le temps alloué à ce type de bénévolat, la difficulté de trouver des locaux, les frais de vétérinaires et de médicaments pris en charge par ces bénévoles, le financement (? s'il y en a) de petits organismes comme Opération Félix, etc.
On ne veut pas tomber dans l'aspect politique, mais plutôt faire le portrait des bénévoles qui s'impliquent, le profil des animaux dont ils s'occupent et les difficultés et embûches dans le monde des «rescues». Nous voudrions également aborder le projet de loi qui modifiera le P-42: les impacts pour les rescues.
Camille vous contactera sous peu.
Or, ce n'est pas ça du tout ce qui s'est passé.
Après une heure d'entrevue, j'ai fait l'erreur de l'amener au refuge pour lui faire visiter nos petits protégés. Pleine d'elle-même, Camille Gaïor, la journaliste du Courrier Laval a dérapé dans son article sur ce que la folle de l'auberge (Auberge Zen où se situait notre refuge jusqu'à la mi-décembre 2011) lui a raconté. Elle a fait une fixation sur mon âge, sur le fait que l'autre rescue avait les chats dans sa résidence et sur les odeurs de chats. Comme si 30 chats dans un local commercial ou pas ne dégageaient pas d'odeurs. Certaines personnes en ont deux et ne peuvent même pas contrôler les odeurs.
Sauf que dans le but de protéger tout le monde, je n'avais jamais parlé du harcèlement de la folle de l'auberge, de ses attaques et comportements. Le grand public n'était pas au courant et l'article paru dans Le Courrier Laval n'a servi qu'à discréditer notre oeuvre de protection des chats errants dans l'esprit de tous, sauf les bénévoles qui connaissent bien la situation.
Tout d'abord, il faut savoir que c'est Sandie Wand elle-même qui m'a offert de me louer le petit espace (il faut lire ici minuscule) au sous-sol de son auberge suite à une annonce que j'avais mise sur Kijiji. Il a fallu tout aménager nous-mêmes avec des bénévoles et ça a pris des mois.
Quand enfin on a pu y aménager des chats, l'accès était très limité. Nous n'avions pas de clé de l'édifice et en plus, l'aération de nos locaux était insuffisante. Tout l'été, au moins la porte-panique juste à côté nous amenait un peu d'air frais. Puis elle nous a fait croire qu'il y avait eu un incident,que quelqu'un était entré dans son chenil, que c'était entre les mains de la police, etc. Des menteries, évidemment. L'accès à cette porte nous fut encore plus limité et les heures d'accès coupées. Je soupçonne qu'elle voulait reprendre les locaux qu'on avait aménagés pour les chiens de ses employés qui étaient laissés seuls pendant des journées et des nuits entières dans des cages juste à côté.
Puis ce fut le salissage auprès des bénévoles et des adoptants qui devaient obligatoirement passer par la réception de son commerce. Pour éviter plus de détérioration, j'ai immédiatement limité le contact avec elle et je me suis tapé tout le travail moi-même tout l'été car c'était inutile de raisonner avec la folle de l'auberge. Elle me parlait par lettres pleines de fautes qu'elle envoyait une employée coller dans la vitre de notre local.
Mes recherches ont démontré qu'elle avait fait la même chose avec d'autres locataires.
Puis ce fut les menaces supposément parce qu'on avait des maladies dans notre petit local. Le manque d'aération n'aidait pas mais on avait le contrôle: il n'y a jamais eu d'épidémie de quoi que ce soit chez nos chats. Ça ne l'a pas empêchée de vomir sur notre travail à la journaliste. Elle a dit à la fonctionnaire de la ville que j'étais une "collectionneuse" "hoarder", etc.
Comme on arrivait à vivre avec ses menaces et qu'on s'occupait quand même des chats: on devait recevoir les gens presqu'en catimini en passant sur un gazon rempli de m*rde de chiens pour accéder au local. Dans les grosses chaleurs de l'été, ça sentait pas mal fort. La seule fois où le gazon a été nettoyé par ses employés c'est quand elle a menacé d'appeler Anima-Québec pour faire inspecter nos chats et notre travail. Elle devait avoir peur de se faire prendre pour malpropreté.
Or, quand elle a vu qu'on arrivait à vivre avec ces nouvelles menaces, elle a monté d'une coche et a essayé de nous faire croire que le propriétaire (qui est son père) était en négociation pour louer TOUT le sous-sol et qu'elle ne pouvait nous relocaliser dans l'édifice. Quand je lui ai dit que je ne la croyais pas, elle m'a donné encore une lettre pleine de fautes dans le style mise en demeure de déménager pour fin décembre.
Le sous-sol n'a jamais été loué.
Elle n'a jamais signé l'entente de location qu'on avait convenu ensemble et que j'avais préparée et tout de même, le loyer a toujours été payé.
Certaines choses doivent être dites car elle a retardé de 8 mois le développement de l'Opération Félix et nous a mis des bâtons dans les roues à chaque fois qu'elle avait la chance et ça, c'est inacceptable car ce sont les chats qui en ont payé le prix.
Elle savait quand elle nous a loué que c'était pour un refuge. Et la journaliste a été mal informée, personne n'a parlé du vrai visage des rescues qui doivent justement composer avec de la mauvaise foi, des mensonges et des menaces. J'assimile des traitements comme celui de la folle de l'auberge à la mafia animale. Ce n'est pas une garderie qu'on a ouvert, c'est un refuge. Les chats y sont confortables et très heureux d'avoir fini d'errer.
Les rescues doivent ramasser après les mauvais propriétaires qui abandonnent leur animal pour des raisons futiles autant que faire face à la violence de personnes comme Sandie Wand qui n'aime évidemment pas les animaux. Les élus et la population en général ne sont pas informés de ça et tendent à nous salir et à traiter les rescues comme des citoyennes de deuxième classe. Ils préfèrent envoyer tous ces animaux dans une fourrière où on a vu ce qui se passait.
Depuis les déboires de la fourrière Berger blanc, ce sont les rescues qui ont pris la relève. Elles sont débordées et n'ont jamais eu d'aide de quelque municipalité que ce soit. Même que les maires ne veulent pas chercher leur expertise pour des solutions urgentes. Pendant ce temps, les fourrières reçoivent encore les $$$ sans donner les services aux citoyens. J'y reviendrai.
Cette mauvaise expérience avec la folle de l'auberge aura eu au moins un côté positif: j'ai connu une équipe de bénévoles formidable, on a un local adéquat et nous allons de l'avant avec ou sans les journalistes du Courrier Laval. Les chats errants ont besoin de toute l'aide qu'on peut leur apporter et c'est urgent.
Pour aider leur cause, on peut faire un don
ou adopter un de nos petits protégés afin de lui donner un foyer permanent. On rejoint l'Opération Félix au 514 837-9972.
Merci d'essayer de comprendre l'oeuvre que j'essaie de pousser depuis 40 ans.
samedi 21 janvier 2012
Rien de changé au BB depuis le scandale dénoncé par "Enquête"
Comme il a fait la première page de l'Echo de Repentigny, je crois que c'est important que vous sachiez tout ce que ce témoin a pu observer puisque le journaliste en a caché la plus grande partie.
Voici le rapport tel qu'il m'a été envoyé pour vous permettre de vous faire une opinion et de relancer vos élus.
Visite au Berger Blanc
La visite a eu lieu Vendredi le 21 Octobre 2011 à 9.15 Am.
J’ai agit à titre d’observateur pour la ville de L’Assomption, la durée de la visite fût environ 1 heure avec 3 autres personnes qui eux aussi représentait la ville. Je suis arrivé a 8.30 Am pour voir les entrés et sorties des camions et pour voir l’ensemble de la bâtisse.
Nous avons été reçus par une employée du Berger Blanc de façon cordial. A l’entrée principale derrière le comptoir les chats sont en cage pour l’adoption et sont à la vu de tous.
Le premier arrêt a été le lieu où les chiens sont en adoption, 24 places sont disponibles mais ils ne sont pas tous occupé.
La première chose qui ma sauté aux yeux est que l’air dans la pièce est lourde dû a un manque de changement d’air. Des employés sont en train de laver le plancher. Les enclos pour les chiens sont sur des tuiles d’une grandeur normale pour ces lieux. Les murs sont d’une propreté moyennement faible, des traces de salive sont apparentes et aussi les grillages de cet endroit ne sont pas frotté souvent. L’éclairage est par néon et il y a aussi des sorties (genre échangeur d’air) mais non fonctionnelle. Il a aussi des cages empilées dans le coin, une poubelle avec de la nourriture pour chien avec pas de couvert dessus.
Lors du transfert de pièce aucun bac pour laver les souliers n’est là et aucune restriction n’est apparente (résultat : transport de microbe d’une pièce à l’autre). La porte n’a aucun système de barrure automatique et de bavard. Il y a aucune enseigne pour la zone suivante, beaucoup de va et vient entre les 2 pièces.
Deuxième arrêt la salle des chiens errant, ce qui me frappe en entrent est qu’il n’y a pas de plafond dans cette pièce; encore là transport de microbe. Les ventilateurs qui sont sur les murs sont d’une saleté en à faire peur.
J’avais fait quelques recherche sur leur site internet, il avait un chien qui provient de notre ville dossier EC-29217 Rottweiler femelle arriver le 17 octobre, et elle était encore là et sur les 3 chiens pour notre visite il en manquait 1 lors de mon passage. La propreté des lieux laisse beaucoup à désirer et les enclos ne sont pas tous occuper. Le canal n’est pas conforme (une plaque de métal rouillée avec un trou fait à la main).
Cette pièce doit êtres une zone de quarantaine avec un système de ventilation à part et restrition total (le personnelle qui travaille dans cette zone doivent resté dans cette zone pour toute la journée, pour ne pas transmettre des virus) ce qui n’est pas le cas présentement.
La porte de garage est grand ouverte l’air frais qui entre est la bienvenue.
Notre troisième arrêt est la zone de pré-adoption qui est séparée par un mur pas fini et pas de plafond avec un trou bloqué par une planche de plywood qui laisse passé l’eau à terre qui provient de la zone des chien errant (supposé zone de quarantaine). Les enclos ne sont pas tous complets. La propreté est aussi déficiente.
Là aussi aucun bac pour laver les souliers et aucune restriction ou enseigne pour entrer dans cette pièce.
Notre quatrième arrêt est à la salle d’isolation pour les chats avec la porte ouverte sur l’autre pièce qui est la salle d’euthanasie. L’employé se dépêche d’aller fermer la porte car elle nous dit que cette porte est fermée en tout temps. Aucun système de restriction pour cette zone soit sur la porte de la salle d’euthanasie
Dans cette pièce avec plafond il a seulement 2 chats qui sont en en quarantaine la aussi il a du va et vient entre la salle de pré-adoption pour chien, la salle d’isolation et pour aller dans la salle de pré-adoption des chats.
L’air est lourd, sur les cages il y a un échangeur d’air non fonctionnel avec des tuyaux en plastique qui provient du plafond non branché au système et aussi non branché dans la prise électrique.
Il y a aussi un trou dans le fond des cages, mais l’employé ne peut répondre à la question pourquoi le trou. Nous apercevons plus loin qu’il y a sur 2 rangée un tuyau de plomberie en pvc blanc avec un trou (comme pour laisser passé de l’eau) mais là aussi l’employé ne peut répondre à cette question. Il y plusieurs cage de transport pour chat à terre et aussi 2 cages à trappe d’une propreté qui laisse à désiré.
Le cinquième arrêt, la salle d’euthanasie en entrant plusieurs seringue déjà utiliser sont sur la table, avec le flacon du produit qui est à notre porté, sous la table à terre il y à un coffre fort d’une grandeur d’environ 18 pouces carré qui est fermé.
Dans les cages les chats sont sur effet de calment. Une question est posée; est-ce qu.il y à un vétérinaire sur place? et la réponse fût oui. (La pièce que nous visitons n’est pas celle qui est sur le reportage de Radio –Canada).
Petit pièce avec une rangée de cage 12 cages rangé sur le long du mur. La pièce ne peut pas prendre de chien il y a aucun enclos pour cela.
Je ne peux pas poser de questions car je suis à titre d’observateur.
Les cages sont en acier inoxydable d’une propreté nettement meilleur à tout ce que j’ai vu jusqu'à présent. (Je me pose des sérieuses questions; où est la place des chiens ?)
Nous sortons de cette pièce en passant pas la salle de quarantaine des chats pour aller vers une autre pièce qui est un peut chaotique.
Le bureau du vétérinaire est dans une autre pièce qui est adjacent à la pièce pour pré-adoption des chats, je n’entre pas, je laisse notre vétérinaire lui parler. A l’entré de cette pièce un caca de chat est à terre en plein centre de la porte et c’est seulement après quelque minute qu’un employé la ramassé et cela à la demande d’une personne de notre groupe.
A terre des lapins au nombre de 3 sont dans des cages, une de ces cage a plusieurs besoin de sont pensionnaire.
Nous nous retrouvons à l’entré (au point de départ) après une question sur notre rottweiler à savoir si il est facile pour une personne qui appelle de savoir ou est son chien. Une démonstration de l’employé nous démontre avec quelle facilité ils peuvent donner des informations au client qui recherche son chien par téléphone, mais pour les chats c’est plus difficile à cause des couleurs et pas de race fixe.
Nous demandons à aller voir les camions qui sont sur la route.
Un patrouilleur nous montre son camion; à l’arrière il est remplie de cage de chat et de chien et aussi de cage à trappe et un bac jaune qui est au dessus des cages, c’est le seul endroit que le bac peux entrer soit dans la boite du camion.
Elle est remplie au maximum de son volume.
Une question est posée; les cages et le camion sont-il désinfecter ? il à répondu que répondu oui à toutes les jours, autre question; les animaux mort sur la route à quel endroit vous les mettez ? la réponse : dans le bac jaune. Donc par dessus les animaux en cage ?
Nous demandons à voir l’autre camion qui était là, car quand je suis arrivé ce matin il y était.
Un pick-up bien plus petit que l’autre camion. Le patrouilleur nous dit que ce camion fait seulement des petits ramassages pour aller chercher un seul animal à la fois. Il ouvre la porte de derrière et il y a un carton qui est dans une cage de chien avec des excréments bien exposer et le plancher du camion n’avais pas été nettoyé depuis longtemps, car il y avait du sable, des petites roches et de la terre bien sec. Il pleut depuis 3 jours quand même.
Nous demandons d’entrer dans la cour pour voir les cages qui sont sur le long du mur de la bâtisse. Cela semble être moins apprécié par notre guide
La cour est en roche (0-3/4) avec quelques mauvaises herbes, nous arrivons pour voir les cages extérieures qui sont sur des dalles de ciment, et les cages sont collées ensemble d’une grandeur nettement pas assez grande pour l’extérieur. (Ont dirait une prison de 4 pieds X 6 pieds)
Nous arrivons dans la cour arrière et nous voyons un chien qui est dehors dans un enclos (un mélange de boxeur croisé avec un labrador ou autre, mais il est plus gros que la normal). Nous demandons pourquoi que ce chien est dehors ? L’employé nous dit qu’il est en pré-adoption. Ce chien est en très mauvais état, il a une toux de chenil très avancé et il à besoin de médicament à ce stade. Nous somme tous d’accord avec le diagnostique.
La cour arrière est très très chaotique, toutes est sans dessus dessous, les cages sont partout (et rouillée) .La clôture arrière est à 10 pouces du sol et l’employé nous mentionnais quelque minute plus tôt que les clôture avait été réparé.
Il y un malaise de l’employé.
Nous demandons à voir le congélateur (il est barré). Les animaux sont dans des sacs de plastique et dans le bac de recyclage et elle nous dit que 2 fois semaine un camion vient chercher les animaux pour les faire incinérer avec un grand sourire. Le vétérinaire pose une question; pourquoi il y a de la ripe de bois dans le congélateur ? Elle ne peut nous répondre.
La ripe est mouillée!! et à une place c’est noirci.
La porte de service lors du reportage de Radio-Canada n’est pas dans la visite guidée mais notre employé dévoué, nous fait entrer pas la porte du garage.
Je suis en colère à l’intérieur de moi, notre visite guidé est parfaitement planifier pour les visiteurs qui viennent voir les changements. Si je n’avais pas eu des informations de personne qui ont travaillé à l’interne et aussi regarder plusieurs fois le reportage de Radio-Canada, nous montrant les installations j’aurais rien vu d’autres de ce qu’ils veulent bien nous montré.
Pour finir la visite nous somme de retour à la réception autour du comptoir.
Une personne de notre groupe pose une question à l’employée si elle est heureuse dans sont travaille? et la réponse est très positive de sa part. Je lui pose une question; est-que vous manquer de place ici ? la réponse est non (Voir mon commentaire personnel). Je lui pose une autre question pourquoi que le site internet sur l’adoption qui indique depuis le mois de mai (sera bientôt disponible) n’est pas encore en service ? elle me répond que nous demandons au personne de se déplacer à la place( voir site internet du berger blanc) pour venir voir les chiens et je lui répond qu’aujourd’hui les gens vont sur internet pour voir ou acheter des biens, cette façon de faire pour aidé la cause de l’adoption au Berger Blanc est bien loin de touts les site web de refuge ou de centre animalier. Disons que mes questions ne sont bien reçues donc je vais arrêter.
Elle nous dit qu’il y a toujours un vétérinaire sur place de jour et sur appel disponible 24 heure sur 24 7 jours sur 7, et elle nous montre un écran plasma avec toute les caméras qui sont sur place, il y a seulement un caméra (avec un trou bleu) qui n’est pas allumée sur l’écran. (J’ai un système pareil chez moi et quand dans l’écran et y à un trou bleu c’est que la caméra a été fermée manuellement) Pourquoi ??
La visite ce termine à l’extérieur et nous échangeons quelque instants et nous repartons chacun de notre côté il est 10.10 Am.
Jean-Claude Gingras
Commentaire personnel
Je m’étais préparé pour cette visite et imaginé comment était les lieux. Même si une personne m’avait décrit les lieux.
J’ai visité la SPCA à Montréal, la Spa Mauricie, plusieurs refuges pour chat et chien à travers la province et aussi plusieurs chenils au cours des derniers mois et dernière année pour mon commerce et aussi pour le CAPA Lanaudière sud.
Disons que je suis sortie très perturbé par les lieux. Il n’y à aucune protection entre le département (porte avec carte magnétique, savons pour les mains, des bacs pour les pieds pour éliminer les risques que contagions des virus ou maladie).
Rien n’est en place pour au moins nous montrer qu’il ont changé, la seule chose sur leur site internet est de nous dire à la PAGE D’ACCEUIL; la façon dont il dispose des animaux pour le reste tout est à changer.
La bâtisse n’est pas faite pour un contrôle animal (des aires ouvertes, des ventilateurs avec 2 pouces de poils, noirs de saleté, pour vous envoyer des microbes partout dans la place. Aucun système d’air assisté pour les pièces avec plafond (ouvrir la porte de garage et ouvrir la porte du devant pour faire un courant d’air et voila le changement air est fait ?
La propreté des lieux est très déficiente (même si il nous dise que tout est désinfecté) j’ai aucun doute en moi qu’ils ne le font pas. (Les murs, barreaux de cage pour chiens, des planchers lavés avec des coins de mur en round) cela nous ment pas. La place nous parle.
Lors de mon exposé je vous ai mentionné que les enclos n’étaient pas tous rempli par des chiens ou chat.
Partout au Québec les refuges débordent et même les places qui donnent les services au niveau de contrôle animalier sont en surpopulation. Ceci n’est pas normal que le Berger Blanc ne soit pas en surpopulation.
Poser la question est y répondre. Le lien de confiance est brisé entre les citoyens (les villes que le Berger Blanc dessert) et cette entreprise. Pour toutes les choses qui ont été dit ou vue et après cette visite je ne peux pas passer sous silence cette visite.
Les gens vont ailleurs pour se laisser leurs animaux et même leur donné leur liberté car il va peut-être avoir une âme charitable qui va le ramasser et le garder.
Il y a aucune promotion pour l’adoption, l’employée était fière du nous dire qu’il avait un chat qui était la depuis le mois d’avril en nous montrant le carton sur sa cage, quel ironie.
A Trois-Rivières une population de 130,000 habitant la SPA Mauricie est toujours presque en surpopulation de chat et de chien.
Le Berger Blanc a 1, 000,000 de population avec la même grandeur de bâtiment et il y des places de libres.
J’ai de la misère de voir les villes cautionner cette façon de faire.
Tous les élus provinciaux ou maires et même les conseillers devraient faire une visite du lieu.
Les chances de changer la façon de faire changerait à une vitesse (comme Jean Charest change la commission sur la construction) à cette vitesse la.
Sentir seulement l’air lourd que je respirais et voir les conditions de salubrité ça n’a pas de bon sens. Il y a 2 portes que notre guide ne voulait pas nous montrer soit celle des 2e étage et la porte service entre le mur et la porte de garage, non les choses sont encore très bien cachées, mais le scénario n’est pas très bien fait.
Quand je suis revenu à la maison j’ai mis tout mes vêtements et aussi mes souliers dans un sac de plastique direction la machine à laver, j’ai été prendre une douche pour ne pas apporter des virus dans mon commerce Le loft des 4 pattes.
Entre le CAPA et le Berger Blanc voilà une bonne question.
Chaque personne devra faire un examen de conscience ou se fermer les yeux encore une fois et laissé les choses se faire encore par le saint esprit.
Je remercie la ville de L’Assomption de m’avoir permis de visiter les lieus en temps qu’observateur.
Jean-Claude Gingras
Citoyen de L’Assomption
mercredi 4 janvier 2012
500,000 animaux abandonnés au Québec par année ????
Après des recherches, je n'ai pas réussi à trouver d'où sort cette statistique. J'imagine que quelqu'un a écrit ça dans un journal pour faire peur au monde et la roue a commencé à tourner. Maintenant, tout le monde la cite.
Déjà dans les années '80, je trouvais exhorbitant le nombre cité par la spca de 40,000 et quelques animaux euthanasiés dans leurs locaux à chaque année. Comme tout ce qui sort de la spca, nouveau conseil d'administration ou pas, c'est toujours tout croche et la part de vérité reste mince.
Mais quand une statistique dans les demi-million vous est garrochée dans la face sans support scientifique, il faut se poser de sérieuses questions. Qui a intérêt à faire peur au monde ? Ce n'est certe pas une façon d'éduquer les crétins qui abandonnent leur animal de compagnie pour n'importe quelle raison.
Combien d'activistes et de protectrices des animaux se sont posés la question : est-ce que cette statistique est sérieuse ? Pas vraiment. C'est écrit dans le journal, repris par Marc André Labrosse sur son site et par d'autres alors ça doit être vrai.
Primo, c'est scientifiquement impossible de le savoir si c'est vrai.
Les fourrières, la spca (qui est maintenant une fourrière), les refuges, les vétérinaires, personne et je dis personne n'a de vraies statistiques sur le nombre d'animaux récupérés, adoptés et/ou euthanasiés. Alors...
J'oserais aussi dire qu'il est statistiquement impossible de savoir le nombre de chats abandonnés et errants ramassés par des âmes charitables, stérilisés et adoptés. Toutes ces bonnes gens qui font la bonne chose parce qu'elles voient errer ces chats sans but et dans de grandes souffrances.
Qui a intérêt à faire peur au monde ?
Sûrement bien des élus municipaux qui veulent sauver la face depuis le scandale du berger blanc et qui vont nous passer des règlements de contrôle des animaux et de leurs maîtres. Ne pas confondre ça n'a rien à voir avec la protection animale.
Il y a aussi Johanne Tassé qui veut justifier son poste de "consultante" mais qui n'en connait pas plus que les élus sauf ce qu'elle a lu sur internet. Je lui accorde par contre qu'elle est compétente en marketing et aurait dû y rester.
Il y a tous les busybodies qui écrivent comme moi sur un blog ou sur un site quelconque qui trouvent ça bien et dramatique de faire de telles citations sans se soucier de la véracité des chiffres. D'accord, ça donne du poids dans un texte.
Par contre, personnellement, quand je lis un texte, je me méfie toujours des chiffres "ronds" et surtout ceux avec un tas de zéros. C'est fait au pifomètre et pour moi ça n'a aucune signification.