dimanche 29 novembre 2015

Les bénévoles dans un refuge, un mélange toxique

Avec l'explosion de la population de chats errants, des petits refuges ont ouvert leurs portes partout dans la province avec l'intention de faire la différence. C'est génial.

Toutefois, il existe un danger réel pour le refuge et ses minous que plusieures n'ont jamais évalué : la fidélité des bénévoles.

Vous n'êtes pas sans savoir que le refuge d'Opération Félix a été détruit par ses bénévoles qui se sont ligués pour faire des plaintes à partir de leurs perceptions et sans même penser une minute qu'ils étaient là pour justement prendre soin de la situation. Au lieu d'aider, ils ont salopé le refuge, les buts de l'organisme et de sa dirigeante. Résultat, les chats en ont payé le prix.

Alors mon conseil aux personnes qui ont la charge d'un refuge, gardez l'oeil ouvert et méfiez vous des bénévoles et de votre entourage en général. Des fois leur ego est tellement grand qu'on ne voit plus la cause derrière. Puis il y a les hypocrisies, les mensonges, les rumeurs (facebook n'était pas encore né que le salissage existait) Il est difficile de discerner une bénévole honnête qui a la cause des chats à coeur. Il faut être vigilentes, les filles.

Tout refuge a besoin d'une leader, d'une coordonnatrice pour voir aux entrées de fonds, aux stérilisations, aux adoptions, etc. Mais quand un bénévole commence à regimber sur ses tâches, sur les protocoles de nettoyage, c'est le premier signe d'alarme. Ensuite il va questionner vos décisions à l'extérieur et la roue commence à tourner.

Avec les dénonciations anonymes au mapaq pour des niaiseries, il va se sentir très fort et fera croire à son entourage qu'il protège les chats contre une méchante marâtre qui ne prend pas les bonnes décisions. Sans avoir une idée de toute la situation, il va répandre son fiel auprès des autres bénévoles. Notez que ce sont toujours ceux(celles) qui en connaissent le moins qui critiquent.

Donc en plus de choisir ses bénévoles avec soin pour leur intégrité et leur amour sans faille pour les abandonnés, il faut continuer à monitorer la situation et ne pas hésiter à écarter les personnes toxiques qui pourraient devenir dangereuses. Pas besoin de leur faire une scène ou de les expulser mais les écarter du refuge même si vous savez que vous avez besoin d'aide. Autrement dit : enlevez vos lunettes roses, ne soyez pas naives, il existe des personnes foncièrement méchantes et frustrées au point de devenir dangereuses pour le refuge et ses petits pensionnaires.

L'autre danger tout aussi important qui guette votre refuge, c'est de penser que le mapaq ou autre organisme peut vous aider ou vous donner un coup de main. Ma recherche a démontré que ces organisations ne sont pas là pour aider les animaux, de un et de deux, elles ne veulent rien savoir des rescues et du travail que vous faites pour sauver les chats abandonnés. ELLES N'ACCEPTENT PAS LA COMPÉTITION.

Compétition pour les dons, ($$$) compétition pour l'attention des médias, compétition pour les adoptions; alors au lieu de vous soutenir, que tout le monde travaille vers le même but, ces organisations vont vous mettre des bois dans les roues, vous nuire par en arrière auprès des élus, par exemple et vous critiquer auprès de tout le monde en laissant courir des rumeurs ou des sous-entendus au besoin.

La campagne menée ces dernières semaines par des busybodies contre le refuge du RSA a été horrible et mis les chats en danger. L'ego de ces bonnes femmes était si grand qu'il s'est répercuté de Chateauguay jusqu'à Montréal. Dites vous que le stress causé aux dirigeantes du refuge et aux bénévoles c'est autant d'énergies qui ne seront pas utilisées pour prendre soin des chats. Shame! Shame! Shame!

Mes 40 ans d'expérience m'ont laissé un goût amer et un profond dégoût de la race humaine. Je m'explique maintenant la haine viscérale entre les sunnites et les chiites qui est en train de détruire le Moyen-Orient. Le bitchage que l'on voit de temps en temps sur facebook ce n'est que la pointe de l'iceberg. Le monde du rescue est un endroit pervers et malsain et il faut être faite forte pour survivre. On me dit que le monde politique a les mêmes problèmes. J'admire Barbara Lisbona pour le courage qu'elle a démontré toutes ces années.

En conclusion, peu importe les décisions que vous allez prendre vous allez être critiquées, ridiculisées et abandonnées. Aussi bien vous faire à l'idée et ne pas perdre de vue le but que vous vous êtes fixé en ouvrant votre refuge. Faites la publicité de vos bons coups pour contrecarrer le jeu des trolls afin que les chats que vous avez sauvés puissent trouver une meilleure vie que le sort que la HSI a réservé aux chats de l'Opération Félix en les truckant vers Toronto en plein hiver dans un camion pas chauffé.

La campagne de salissage des bénévoles du refuge de l'Opération Félix pour le faire fermer n'a jamais eu de résultat positif, ce sont les chats qui en ont payé le prix dont plusieurs l'ultime sacrifice de leur vie.




P.S. Si vous connaissez quelqu'un qui a des démêlés avec le mapaq, communiquez avec moi en privé via facebook. Nous avons deux avocats capables d'aider.

vendredi 27 novembre 2015

LE PROJET DE LOI 54 : UNE TRAPPE POUR LES MADAMES CHATS

LE PROJET DE LOI 54 : UNE TRAPPE POUR LES MADAMES CHATS

Une haine inexpliquée et inexplicable contre les animaux et leurs humains de la part des inspecteurs des spcas et du mapaq(hsi) nous mène directement à des raids tels que conçus dans ce projet de loi par ces mêmes organisations qui étaient déjà sur le premier comité Kelley en 2009.

J'en suis rendue à n'avoir aucune compassion pour des réfugiés cherchant asile devant le terrorisme exercé par des inspecteurs incompétents contre des animaux innocents et leurs humains. Nous comptons par centaines les victimes de ces raids illégaux. Vulnérables, leurs moyens de défense sont limités et surtout ignorés par des juges corrompus et des procureurs de la Couronne qui font le jeu du mapaq(hsi) et ne veulent surtout pas gâcher leurs chances de devenir juges eux-mêmes.

Ma question avait toujours été : pourquoi on n'a jamais demandé l'avis des secouristes et rescues, des madames chats et des sauveteurs de chiens abandonnés en forêt. Je crois avoir trouvé la réponse dans un petit témoignage tout court d'une victime de la OSPCA.

Rebecca Jane Ashworth I know someone who was outright told by an ospca agent in Bracebridge, that they do NOT want competition. Rescues etc are to be gotten rid of, but i guess if there is money to be made, they would be interested in that.

Une sauveteuse de chiens qui avait demandé l'aide de la mspca pour sortir ses chiens de la pension horrible où elle était tombée s'est fait demander jusqu'à $10 000 de frais pour en faire adopter. La seule réponse d'une busybody de la mspca 'ben madame, sortez vos chiens de là'. C'est facile à dire mais la mafia animale existe toujours et n'a pas encore eu sa Commission Charbonneau.

Le P-42 n'aura servi qu'à aller chercher de beaux chiens déjà secourus et traités, souvent stérilisés chez des rescues qui y avaient mis beaucoup d'énergies et d'amour pour les revendre à gros prix en Ontario et aux USA. C'est un scandale quand le mapaq(hsi) se vante de vouloir fermer des usines à chiots, ce qu'elle n'a jamais fait.

Alors avant la fin de la session parlementaire la semaine prochaine, on va nous foutre sur la gueule la loi 54 en faisant croire au monde facebook que c'est ce qu'on attendait, nuance c'est ce que la HSI attendait pour mettre le pied au ministère et contrôler les raids et la disposition des animaux 'saisis.

Rappelez vous que les chiens d'usines c'est pas payant, trop de travail et de bénévoles nécessaires pour les sociabiliser avant la vente alors on prend l'enveloppe et on laisse les p'tites mères à leur sort dans ces anciennes porcheries de bout de rang.



vendredi 21 août 2015

La vérité sur les raids du mapaq et de la hsi

Pour les Jacinthe M. et Pierre-André R. de cette province qui se pensent bien fins parce qu'ils collaborent avec le mapaq et la hsi, je vais vous décrire à partir de mes enquêtes comment se déroulent les raids que ces deux organisations font présentement au Québec, tout en prétendant sauver des chiens et des chats en péril. 

Notez que malgré leurs prétentions, AUCUNE usine à chiots n'a été fermée. Par contre on a volé mafia style des chiens chez plusieurs éleveurs commerciaux.

Personne n'est à l'abri d'un raid car ça n'a rien à voir avec la protection des animaux mais plutôt si les chiens ou les chats de race, par exemple, sont vendables facilement. Les chiens d'usines ont besoin de plusieurs semaines pour être remis en état avant d'être vendus et c'est la raison pourquoi il n'y a aucune usine fermée depuis des années; alors que les chiots d'éleveurs commerciaux sont déjà vaccinés, propres et rapportent immédiatement comme la spa de Sherbrooke l'a fait avec les chiots de Dudswell.

Ces raids visent des personnes vulnérables, qui ont tout à perdre y compris leur réputation et doivent signer illico une cession de leurs biens (chiens). Le P-42 est conçu pour exactement exiger une rançon si la personne ne veut pas signer. En plus on lui envoie dans les 90 jours une liasse de contraventions bidons pour du poil sur un griffoir, un bol renversé ou un motton dans le poil. En plus de perdre son fonds de commerce, sa source de revenus et celle de sa famille, la personne aura des frais exhorbitants d'avocats, des amendes et frais vétérinaires aussi obscènes qu'inutiles.

Parce que vous avez pensé bien faire et demandé un permis ou qu'un voisin malveillant a donné anonymement votre adresse au mapaq, ils vous ont à l'oeil. C'était le but visé par cette histoire de permis et c'est confirmé par un agent de communication du mapaq que c'était juste pour avoir les adresses des personnes naives. 

Puis, des inspectrices commencent à vous visiter, à gosser, à poser des questions, vous répondez honnêtement pensant que vous n'avez rien à cacher. Erreur.

Au refuge de l'OF, on en était aux visites aux 15 jours. Impossible de savoir pourquoi, c'était une série de mensonges qui changeaient selon la conversation (on était dans le coin, vous avez pignon sur rue, on a une plainte, du n'importe quoi). Exemple, la fois ou j'ai refusé que l'inspectrice rentre, elle s'était fait accompagner par la police sans savoir ce qui allait se passer. Donc, elle avait des intentions que je n'ai pas comprises, i.e. elle s'en venait à la pêche. Mais quand elle a parlé que j'avais des chatons malades, il était évident qu'elle cherchait autre chose car ça faisait des mois qu'il n'y avait pas de chaton au refuge. Sa superviseure n'était pas plus parlable. Je me suis alors sentie justifiée de lui refuser l'entrée pour ma propre sécurité. Mais je devrai me défendre en Cour de ce refus.

Un matin c'est votre tour. Le dossier est 'fabriqué' et le mandat obtenu d'un obscur fonctionnaire derrière un comptoir qui n'a rien regardé de la légitimité de l'affidavit à l'origine de la demande. Puis l'inspectrice fixe une date avec ses 'partenaires' pour aller chercher ce que vous avez de plus cher, vos animaux. S'il y a des enfants sur place, la DPJ sera là aussi, c'est le même principe.

Sans avertissement (c'est toujours un asti de secret) la rue s'emplit de véhicules devant votre porte. Trop tard, ils savent exactement ce que vous avez, combien de transporteurs seront nécessaires et où ils vont les envoyer : police, camions loués ou appartenant à la spa de Sherbrooke ou la hsi, supposés bénévoles à casquettes vertes, photographes et vétérinaires collaboratifs qui ne voient rien et disent n'importe quoi.

Pour les chevaux, même le Refuge Galahad collabore avec le mapaq et ne donne plus jamais de nouvelles du cheval saisi. Autrefois Anima Québec et la spca les envoyaient chez des éleveurs qui les vendaient même avant que la cause soit entendue. Carole à St-Lin a gagné sa cause contre la spca mais tous ses chiens avaient été dispersés, donnés et vendus. Le vieux monsieur en banlieue de Joliette se faisait vider aux 6 mois. L'inspectrice Bouillé de la spca passait, lui disait que tout était correct et le lendemain elle arrivait avec tout l'équipement pour le raid.

Puis tout ce monde entre en fous dans votre propriété, sans invitation, pendant que la police fait le guet. Imaginez 5-6 personnes énervées qui rentrent dans votre résidence ou votre élevage en folles, se mettent à fouiller dans vos affaires, énervent les animaux qui courent partout, excités d'avoir de la visite ou simplement de peur car ils sentent que quelque chose n'est pas normal. Une ou deux prennent des photos et les flashes énervent encore plus les animaux. Vous avez perdu contrôle, vous n'êtes plus chez vous.

La meilleure description c'est celle de Rebecca qui a subi un raid par la OSPCA et a perdu tous ses chiens :

 On Monday, the agents/inspectors arrived with a team, a vet, police and a warrant, and proceeded to seize every one of our dogs. 71 total. They arrived at 8am, and kept my husband and son on the boiling hot driveway in full sun, from then till 5:30pm. Not even offered any water till the afternoon. Randy was so angry he would not take it. They would not allow them to finish morning chores, provide morning care to Angel who is paralysed, or to feed and water the dogs. The dogs who were all panicking and barking at the intruders, were all kept inside all day, not allowed out to urinate or defecate, so would have had to go inside the house. Two males that had been crated overnight, and had not yet gone outside, were not allowed out to urinate or defecate all day. The smaller dogs were kept on the porch, including Angel, who without her bandages for her feet, was allowed to drag herself on wood for many hours, was the last dog removed from there, and had worn her feet bloody, leaving blood streaks all over the porch. They later claimed she was in such poor condition (remember she had recently been seen by our vet) that she needed hospitalisation. On the first visit on May 20, the inspector had said in her opinion the dog should be euthanized. They traumatized all the dogs,


La même chose pour les chiens du monsieur en Abitibi. On les a détachés des cabanes pour courir après dans la neige et leur passer le collet pour les mettre dans les transporteurs. 

Après une évaluation sommaire pour la forme, l'inspectrice donne le ok pour 'saisir' votre propriété. Elle sait déjà ce qu'elle va inventer pour justifier ses actions et vous ne reverrez jamais vos animaux. La meilleure chose qui pourrait arriver c'est qu'un jour, une personne à risque puisse être prévenue et qu'un dossier puisse être monté avant le raid contre ce genre d'expéditions malhonnêtes parce que les animaux ne seront plus sur place mais auront pu être déplacés. Encore là il faut compter sur des personnes fiables et dans le rescue il y en a peu.

Et c'est la course, s'il y a des chiens en cage, on les libère tous puis on court après, c'est leur trip. En riant comme des folles, elles brisent tout dans la maison mais c'est pas important. Tout est renversé et les animaux capturés au collet (voir photo) et mis dans des transporteurs. 


Rebecca : The investigators chased the dogs all over, despite my husband's warnings that many have trust issues, and they ignored him, and his requests to help catch the dogs, and two people were bitten. 

Quant tout est brisé, sans dessus-dessous, on prend des photos, beaucoup de photos et on donnera ça au juge comme preuve que c'était le bordel chez vous.  Les chiens ont chié partout parce qu'ils n'ont pas été sortis pour leurs besoins avant le raid. Le juge ne saura pas que c'était fait exprès pour vous discréditer et monter un dossier pour justifier le raid. Peut-être que par sécurité, un matin que vous aurez fini de tout nettoyer, de prendre des photos qui pourront être soumises au juge.

Si on ne vous a pas expulsé comme dérangeante avec un P-38 pour vous amener en psychiatrie à l'hopital, vous assisterez impuissant(e) à toute cette mascarade et à l'agression de vos petits par des êtres sans compassion et nullement intéressés au bien-être des animaux. Pendant qu'ils sont retirés de leur milieu sans déjeuner, manipulés avec force et sans ménagement, vous avez le coeur dans la gorge en leur disant adieu.

Vous n'avez aucune idée pourquoi on vous les enlève (le mandat qu'on vous remet n'est qu'un torchon sommaire sans information), ni où ils seront apportés car l'endroit est toujours gardé secret et si vous pourrez les faire examiner par votre vétérinaire afin de vous défendre contre les accusations bogus de cruauté qu'on va porter contre vous. Souvent ils sont blessés dans ce brou-ha-ha et passeront toute la journée sans soins, ni nourriture, ni eau, ni ménagement, sans mentionner un stress inimaginable.

(à suivre)

samedi 18 avril 2015

Le comment et le pourquoi


La joke du mapaq de prendre des plaintes anonymes sur une ligne 800 a des rebondissements plus que néfastes dans la vie des animaux et des personnes qui les ont secourus. C'est loin d'être l'idée du siècle connaissant la tendance des québécois à bavasser sur leurs voisins même s'ils ne sont au courant de rien d'une situation.

J'ai réussi à comprendre tout le système d'inspection et de saisie (lire vol) des animaux par les inspectrices du mapaq mais je cherche encore les motifs de leurs agissements.

Ce matin, je pense avoir trouvé une piste de réponse. Pour accepter ce genre de job, d'entrer dans la vie privée de personnes complètement innocentes, de faire de fausses accusations, de fabriquer de la preuve et d'enclencher un système judiciaire qui prend le temps et l'argent des contribuables pour accomplir zéro, elles doivent être en partie des psychopathes ou des illuminées qui se croient investies d'une mission.

Quand la loi 51 a été adoptée, c'était supposé pour fermer des usines à chiots et tout le monde l'a cru mais non seulement y en a pas eu une de fermée mais ce sont des éleveurs éthiques et des secouristes qui se sont fait voler leurs animaux pour lesquels le mapaq demande ensuite une rançon.

Ce que je dis là est grave, je le sais. Mais il faut que ce soit dit car les secouristes sont à risque et leurs animaux aussi. Parce qu'une personne vit différemment de son voisin ne veut pas dire qu'elle fait quelque chose de mal. Une personne végétarienne devient tout de suite suspecte et se fait ostraciser.

Les québécois qui se pensent ben fins (surtout les filles qui disent n'importe quoi sur fb) devraient y penser à deux fois. Dénoncez, qu'elles disent. Mais dénoncer quoi? Vous n'êtes témoins de rien. Comme mon bénévole qui a fait une fausse déclaration en prenant ses perceptions pour des réalités. Ces mêmes filles n'oseront jamais par contre dénoncer le tdc qui a une plantation de pot dans sa maison et qui empeste dans tout le quartier. Mais si une personne a de la compassion pour les chats errants qui vivent des heures traumatisantes au Québec dans le moment et essaie de les aider, on va tout de suite la rapporter, soit à la ville, soit sur la ligne anonyme, soit au vet au lieu de l'appuyer et de l'aider dans sa mission.

Ben moi, ces filles-là, je n'en ai aucun respect comme pour les joes bleau qui se donnent une mission de 'faire enquête' et demandent de l'aide pour vider la maison d'une dame qui a 20 chats. Si ces personnes, comme le mapaq n'avaient rien à cacher, ils n'utiliseraient pas toujours la fameuse phrase 'c'est confidentiel' et se cacheraient pas derrière leur page facebook. Quand on apprend la vérité, on voit que c'est tout autre chose que ce qu'ils disent et pas honorable du tout.

Suite à une plainte qu'elle avait faite elle-même et ou elle s'était identifiée, une activiste a été PUNIE. C'est elle qu'on a inspectée et le farmer qui avait scié les pattes de son veau parce qu'il était pris dans la glace n'a reçu aucune visite.

Alors les inspectrices méprisantes du mapaq se sont mises sur son dos,à la visiter régulièrement comme elles le faisaient avec notre refuge. T'essaie d'être polie, de répondre aux questions mais rien n'y fait. Elles n'ont aucun critère et ne veulent rien savoir. Leurs notes sont prises sur un pad ligné puis rendues au bureau elles se trouvent des articles du P-42 qui peuvent convenir à une infraction sur les photos qu'elles ont prises.

Il n'est pas admis qu'une personne puisse vivre différemment dans sa maison, puisse avoir des animaux et en prendre soin de façon différente des cliniques d'après les inspectrices ce sont des infractions. Alors quand elles quittent, pas de recommandations, simplement un 'vous recevrez notre rapport'. Puis un matin, elles arrivent avec la HSI, les camions, la police et les pompiers. L'activiste n'a jamais reçu de rapport, les inspectrices étaient venues à la pêche mais le 1er avril 2015, quelques jours avant la longue fin de semaine de congé de Pâques, tout ce beau monde se présente chez elle, casse tout dans la maison et embarque les animaux sans avoir déjeuné dans un stress épouvantable pour les amener dans le garage de Lachute.

Elles ne savent pas comment capturer et transporter des animaux et le stress qu'elles leur causent est inacceptable. Ces animaux secourus sont déjà vulnérables et fragiles mais ça elles s'en fouent. Sans aucune information médicale, leur vet de service à Lachute va remplir un faux rapport et vacciner tous les animaux y compris contre la rage ce que je considère comme une agression physique sur ces pauvres petits êtres en situation de stress.

Elles ont brisé la vie de cette activiste, des animaux qu'elle avait secourus et pour quoi? Si vous lisez bien, vous allez en venir à la même conclusion que moi. J'ai compris le comment mais je cherche encore le pourquoi.

Il va falloir s'unir pour régler la situation et protéger de quelque façon toutes ces personnes au grand coeur qui ont accepté de secourir des animaux en danger. Ce que fait le mapaq avec son garage de Lachute, c'est horrible et on ne peut les laisser continuer à faire vivre ça à des animaux.

Si elles n'avaient rien à cacher, elles ne feraient pas signer une entente de confidentialité (qui est illégale d'ailleurs) aux bénévoles qui vont travailler au garage. Essayez de vous ouvrir les yeux et de comprendre ce qui se passe.

mercredi 14 janvier 2015

Déclarée coupable avant d'avoir pu passer devant la Cour

Dès la parution dans le journal local de la nouvelle de l'enlèvement des chats de l'Opération Félix, j'ai été traitée comme une pestiférée. Quelqu'un peut m'expliquer la différence entre dénonciation et lynchage ?

Quelqu'un d'autre a écrit et publié exactement ce que je pensais, merci Jules-Pierre

Les sites dénonciateurs, « blacklist » et les autres pages disant présenter les « faits » et les « vraies preuves » : y a-t-il vraiment une place ici pour ces pages? Je crois que beaucoup de mal peut être évité chaque année en dénoncant ceux coupables de maltraitance des animaux et nous en voyons des cas tangibles chaque année. Mais si le système juridique peut se tromper, malgré toutes ses ressources et les compétences des juges avocats et autres membres du système judiciair...e, que dire de simples personnes tentant de trancher à partir de Facebook? Je dois vous avouer que cela me fait très, très très peur. Non seulement pour le mal que de telles pages peut faire, mais aussi pour les dommages à la réputation du mouvement de sauvetage des animaux en général. Nous sommes de plus en plus vus comme une communauté de chicaneurs. De plus, sans nommer la page, j'ai été témoin d'une situation cette semaine sur une page gérée par une clique tentant de jeter le blâme sur une personne alors que la vraie coupable se faisait blanchir. On parlait de » vraies preuves » sur cette page, mais la seule preuve offerte dont la page s'est servie pour innocenter quelqu'un qui était tout à fait coupable, était le témoignage sur Facebook de la couplable, et ce témoignage était non confirmé par une 2e personne sans nom. Le blame était jetté sur quelqu'un d'autres et les « preuves » n'étaient que des alégations des plus pures. Ces pages, sont souvent synonymes de CLIQUE. Je suis prêt à croire que ceux qui partent ces pages sont de bonne volonté, mais si vous êtes pour les supporter, demander de voir des protocoles, demander qu'une approbation de plus d'une personne soit requise pour ces protocoles, demander à ce que des adminstrateurs soient nommés sur la base de leur expérience et qu'ils soient indépendants les uns des autres (et non pas des tits zamis), demander à ce que les témoignages (ne les appelons pas des faits, ou des preuves) soient présentés de façon objective. Ca, c'est un minimum, et dites vous bien qu'en bout de ligne, meme si c'est une page avec un nom ronflant (Blacklist, etc.), la page n'a pas plus d'autorité ou de crédibilité qu'une page personnelle. Et souvenez-vous qu'en bout de ligne, que malgré toutes les bonnes intentions et toutes les mesures possibles, que ce qui est fait sur cette page n'est pas nécessairement légal ou la bonne façon de procéder. Des photos, des vidéos, etc. peuvent être des preuves, mais ces éléments peuvent aussi être utilisés pour faire de la PROPAGANDE. Et ca ne prend pas des génies du Photoshop pour changer une photo pour lui faire dire ce que l'on veut. Soyez prudents, svp.

Mes ex-bénévoles qui ont simplement changé de camp y sont pour beaucoup dans la perte des chats de l'OF. Les documents de la Cour le démontrent. Les hypocrisies çà ressort toujours. Les photos mises sur FB ont effectivement été passées au Photoshop et on sait par qui.

Dans le rescue, les couteaux volent bas et j'en ai trois de planté dans le dos.

La mafia animale n'est pas toujours là ou on pense....

dimanche 11 janvier 2015

Quoi faire dire à des statistiques

2008 Décembre le 5 - Journal de Montréal

Statistiques dont la `Source`est le Berger Blanc:

Tous les ans, Le Berger Blanc récupère environ 25 000 animaux

Le mot pivot de cette phrase est ``environ``. Comme le BB est une compagnie privée, il n'y a aucun moyen d'accéder à leurs statistiques. D'ailleurs, j'ai la conviction que cette compagnie ne tient aucune statistique. Comme pour Laval du temps qu'elle avait le contrat de fourrière, les chiffres étaient calculés au pifomètre.

La moitié d'entre eux sont destinés à l'euthanasie

On sait de quelle façon ils étaient tués à cette époque et il n'y a aucun moyen de savoir si les methodes ont changé. Le SPVM a refusé d'investiguer. Je peux vous fournir le nom du commandant qui a refusé ma plainte.

Environ 3500 animaux sont abandonnés chaque année surtout en période de déménagement ou au retour des classes

Le mot clé ici est encore ¨environ¨   Il n'y a aucun moyen d'avoir un chiffre exact ou approximatif.  En effet, impossible de compter ceux laissés au vet ou euthanasiés, ceux laissés dans la ruelle et ramassés par les rescues, ceux donnés sur Kijiji, ceux abandonnés en forêt, etc.

3500 autres sont trouvés errants

Pour les memes raisons, c'est impossible d'avoir un chiffre meme approximatif.

Les autres sont donnés au Berger Blanc pour adoption

Cette compagnie devrait être poursuivie pour fausse publicité. En effet, elle ne fait aucune adoption mais vend les animaux les plus susceptibles de rapporter des $$$ et les autres sont vendus ailleurs. Pour m'éviter des poursuites et protéger mes sources, je vais retenir mes commentaires ici.

Depuis des années, je me méfie des chiffres ronds, avec des zeros en masse. Du temps de Barnotti, il faisait croire aux medias qu'il y avait 500,000 morsures de chiens par année au Québec et tout le monde avait gobé le chiffre sans sourciller. Quand on pense que Sao Polo avec ses 23 millions d'habitants et ses chiens errants en avait seulement 8,600 par année, on voit toute suite l'exagération.

Conclusion: ne croyez pas tout ce que vous lisez dans le Journal de Montréal et vérifiez les sources.

mercredi 7 janvier 2015


Comme le dit Andrée-Anne Racine dans son blog merveilleux «D'encre et d'eaufraîche»: C’est bien connu, le silence et les indécis profitent toujours à l’oppresseur et non aux victimes

En plus de moi-même, les victimes dans mon cas ont été les chats du refuge. Personne ne s'en est inquiété, les inspectrices encore moins. Non seulement les amies du refuge n'ont pas demandé de nouvelles mais n'ont même pas sourcillé lorsqu'on a appris que nos chats étaient partis vers Toronto dans un camion cube non chauffé, par grand froid en décembre.

Je me suis battue pendant plus d'un an contre des busybodies, contre le système judiciaire, contre l'indifférence et l'ignorance des québécois pour essayer de leur faire comprendre l'injustice qui avait été faite à ces chats qui n'avaient rien fait mais qu'on a déraciné sans raison de leur environnement par un froid sibérien en novembre 2013 pour se venger des vérités que j'avais écrites sur l'infiltration du mapaq par des êtres méprisants et cruels.

Il n'y a pas de justice au Québec, on a un système qui n'est pas mieux géré que celui de la santé. C'est tout dire. J'irai plus loin. Je suis contre la peine de mort car c'est trop facile de fabriquer de la preuve pour condamner un innocent. Les cours sont remplies de faux témoignages et la déclaration sous serment n'a aucune valeur. La corruption est partout et seuls les riches s'en sortent.

Il ne faut pas se le cacher, la guerre n'est pas finie. Le ministre a promis de réétudier la réglementation et je n'ai aucune confiance que les rescues et petits refuges seront protégés. Une commission parlementaire devrait s'ouvrir en février 2015. Les vautours sont déjà dans la pièce pour voir comment s'approprier plus d'animaux et détruire les éleveurs éthiques et les rescues. Seules les usines à chiots vont s'en sortir car leurs proprios connaissent bien le système d'enveloppes.

Donc, je suis à développer une autre stratégie pour protéger toutes celles qui ont plusieurs chats et qui craignent la visite des inspectrices. Je ne peux la donner ici car justement, les busybodies lisent mon blog et c'est même leur seul sujet de conversation au bureau de Québec.

Pour çà, je vais avoir besoin de votre aide à toutes, morale et financière pour continuer la lutte car, comme un pitbull, le mapaq ne veut pas làcher le morceau. Ils veulent sauver la face, je pense, c'est typique des bureaucrates.  On veut me faire la leçon et donner un aperçu à toutes celles qui voudraient contester de ce qui pourrait arriver à leurs animaux. Il y a une grande injustice dans ce système et c'est ensemble qu'on va pouvoir la vaincre et sauver les chats errants. Ils comptent sur nous toutes.

Il faut se serrer les coudes et trouver des solutions. J'en ai plusieurs que je ne peux donner tout de suite pour des raisons évidentes. Non, je ne suis pas coupable de ce qu'on m'accuse mais j'ai été victime de bénévoles menteurs et voleurs qui ont profité de ma bonté pour les animaux pour se les approprier ainsi que des biens de l'Opération Félix. Voler les biens d'un petit refuge c'est comme voler dans une soup kitchen, on vole des pauvres.

Pour aider on va sur www.gofund.me/b37e08